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Juin 1960
ORGANISATION DU TRAVAIL
Le travail relatif au Congrès nous a mis quelque peu en retard pour la parution de notre revue et nous nous excusons. D'ailleurs, notre expérience nous montre que le troisième trimestre de l'année scolaire (avril, mai, juin) est toujours une période de panne pédagogique plus ou moins totale. Outre la fatigue de fin d'année tous nos camarades sont pris, durant cette période, par une infinité de charges scolaires et post-scolaires : Préparation des examens, voyages de fin d’année, fête scolaire, rassemblement des coopérateurs, quinzaine laïque, syndicats. C'est le moment où nos camarades ont à peine le temps de dépouiller leur courrier et de décacheter leurs Journaux,
Alors, dans la pratique, il vaut mieux bloquer tout notre travail et nos périodiques aussi sur la période active : 1er septembre - Congrès de Pâques.
Il en est de même pour TECHNIQUES DE VIE. Il vaut mieux pratiquement; si on en veut un bon usage, sortir notre n° 5 de 1'année début septembre, en préparation pour la rentrée, le n° 1 de l'abonnement suivant paraissant ensuite en octobre.
Entre temps, je sens tout de même la nécessité, en cette fin d’année, de faire le point de notre travail, de discuter avec nos collaborateurs et avec nos lecteurs, de toutes questions touchant nos recherches, en préparation d'ailleurs de notre COLLOQUE INTERNATIONAL TECHNIQUES DE VIE qui se tiendra à l'Ecole Freinet de Vence les 28 et 29 août prochains.
Cette mise au point n'aura donc pas la forme de nos numéros habituels. Elle sera comme une longue mise au point familière à laquelle, nous l'espérons, répondront de nombreux amis qui nous aideront ainsi à poursuivre notre œuvre.
C'est pourquoi nous sortons ce numéro avec un tirage à l'offset qui nous permet de nous entretenir plus longuement avec vous tous.
Le présent numéro sera accompagné d'un questionnaire qui vous facilitera les réponses.
Redisons d'abord combien il est indispensable que de nombreux lecteurs, de toutes disciplines et de tous degrés - et les membres aussi de notre Comité de Patronage nous donnent leur point de vue, non pas forcément des approbations, mais leurs LIBRES CRITIQUES, comme celles que nous avait envoyées M BLOCH et que nous voudrions le voir reprendre plus régulièrement.
Ne croyez pas que vous nous rendez service en n'exprimant pas vos réserves, ou même vos craintes et vos oppositions. Cette revue aura manqué son but si elle n'est qu'un obstiné monologue de trois ou quatre collaborateurs Ce n'est pas seulement par amour-propre que M VUILLET insistait tellement à Avignon pour que nos lecteurs lui disent ce qu'ils pensent de ses études. Il manifestait ainsi son souci permanent de répondre aux besoins de tous et se demandait avec quelque inquiétude s’il ne faisait pas fausse route.
C'est le principe même de notre TATONNEMENT EXPERIMENTAL qui suppose vos observations et vos critiques. Aidez-nous donc en nous écrivant longuement et en répondant au questionnaire.
Tout en nous félicitant de la précieuse collaboration de M, VUILLET et de M. COMBET, sans qui la présente revue n'aurait pas même vu le Jour, et en les remerciant des études fondamentales qu'ils nous ont données, nous nous rendons bien compte que le destin de la revue serait compromis si nous ne parvenions pas à élargir aux divers degrés, et internationalement, le cercle de nos collaborateurs.
L'observation est d'ailleurs valable pour le premier degré autant que pour le deuxième. Nous n'avons guère eu, jusqu'à ce jour que la collaboration de BERTRAND, e BOHEC et Le COQ. Nous ne sous-estimons nullement l'intérêt de tout ce qu'ils nous envoient mais il faut absolument que de nombreux autres camarades ne craignent pas de nous envoyer le fruit de leurs réflexions. Ces réflexions ne seront pas forcément théoriques, psychologiques ou philosophiques, C'est le fruit de leur expérience pratique, de leur vie au milieu de leurs élèves, qu'ils doivent nous communiquer pour que nous puissions continuer à travailler sur du réel et du solide.
La difficulté que nous éprouvons à élargir ce cercle vient en grande partie, nous le savons, de la surcharge de travail de tous les éducateurs qui nous ont pourtant donné spontanément leur accord. Ils sont nombreux à avoir quelque chose à dire. Mais les uns redoutent d'exprimer leurs idées sous forme d'articles pour la revue ; les autres voudraient et pourraient mais n'en trouvent pas le temps.
Mais il faut dire aussi que si, dans l'ensemble, de nombreux éducateurs reconnaissent aujourd'hui les vertus de nos techniques, rares sont encore ceux d'entre eux qui sont vraiment pénétrés de leur substance de leur philosophie. Hors notre important noyau de fidèles la masse des autres se contentent souvent d'adapter nos techniques à l'Ecole traditionnelle - ce qui est malgré tout, nous devons le reconnaître, un progrès - et peut-être une étape nécessaire.- Mais pour l'instant ils ne franchissent pas le pont qui préparerait pour un jour prochain le dépassement indispensable qui substituera notre pédagogie à la scolastique condamnée.
Ils sont d'accord dans l'ensemble. Mais, en réalité ils nous opposent une infinité d'objections et de critiques qui suscitent bien des malentendus, qui sont ceux-là mêmes que formulent la grande masse des éducateurs.
Nous disons : Plus de manuels ! Mais nombreux sont les camarades qui ne sont pas sûrs ni de la valeur ni de l'opportunité d'une telle condamnation et qui en continuent l'emploi.
Nous disons : « la grammaire est inutile, et donc nuisible ! » Mais rares sont encore les camarades qui ne pensent pas que, ce faisant, j’exagère en bon méridional que je suis.
Nous préconisons une méthode naturelle d'enseignement scientifique, mais quand un professeur oppose à le BOHEC les observations ci-dessous, nous ne savons pas toujours exactement ce que nous devrions répondre. « Les développements de la science dans tous les domaines, écrit ce professeur, nécessitent si l'on veut les comprendre, non seulement un bagage mathématique de base sérieux, mais plus encore un apprentissage très poussé du raisonnement scientifique, une méthode scientifique rigoureuse dans l'approche des questions, dans la manière de les résoudre, et enfin dans l'expression des résultats acquis ... Tout ce qui précède te fera comprendre pourquoi j’ai été très déçu par les ouvrages de Freinet et de ses disciples. Sympathique par son but, par l'essentiel de ses méthodes, par son enthousiasme le mouvement Freinet, comme s’élevant à une extase mystique, rejette la rigueur scientifique de la pensée et de l’expression. »
Evidemment, c'est exactement le contraire que nous affirmons Ce sont les méthodes traditionnelles qui ne donnent qu'une caricature de rigueur scientifique ; ce sont nos techniques qui prétendent former les vrais hommes de science.
Mais cela il faudrait le démontrer théoriquement par un double processus théorique et technique.
Un correspondant ukrainien de Le Bohec lui expose les critiques ci-dessous au nom desquelles on condamne encore communément nos techniques en URSS et qui nous valent bien des objections en France :
« Je ne suis pas d’accord avec votre souci de commencer par l’expérience et l’expression enfantines. II me paraît qu’il faut d’abord donner les connaissances dans différents domaines Seuls la mémoire et l’usage rendent 1’homme sage. Cela veut dire que tous les enfants doivent recevoir les connaissances élémentaires sinon nous n’aurons jamais de succès. »
Même indécision encore pour ce qui concerne le dessin. Malgré le succès croissant de nos techniques qui ont influencé dans ce domaine, et d'une façon radicale, 1'enseignement dans les petites classes et dans les diverses organisations d’enfants; la grande masse des éducateurs reste encore sceptique et pense comme les délégués soviétiques à notre Congrès de Paris qui devant les chefs-d’œuvre de nos expositions posaient candidement aux maternelles cette question pour eux primordiale : « Mais comment leur enseignez-vous à tenir le pinceau ? »
Le même retournement reste à faire pour le calcul et notre CALCUL VIVANT en est l'expression technique. Mais cela n’empêche pas de nombreux pédagogues et les revues de présenter comme une nouveauté salvatrice les nombres en couleurs de Cuisenaire, qui ne sont qu'une forme scolastique de l'apprentissage soi-disant concrétisé- comme l'était la Méthode Montessori lorsqu'elle nous présentait au Congrès International d'Ecole Nouvelle à Nice en 1932, des enfants de 7 ou 8 ans qui extrayaient la racine carrée (ce que je ne sais plus faire moi-même).
On continue en gymnastique à prôner les exercices méthodiques et M- COMBET ne sera pas toujours compris quand son étude du n° 4 dit la nécessité d'un style de vie.
Mêmes reconsidérations pour ce qui concerne la musique, le chant, l'histoire et la géographie.
M. VUILLET et M. COMBET ont, par leurs études, très sérieusement commencé le travail. Mais il nous reste encore bien des recherches à faire pour que les Techniques Freinet apparaissent comme une pédagogie scientifique (plus que les méthodes traditionnelles qui usurpent ce titre), comme un moyen plus sûr de formation humaine, comme une meilleure préparation aussi de cette masse d'élèves qui, au second degré, auront besoin de ces assises profondes dont tous les secondaires nous disent l'urgente nécessité.
***
Cela ne veut pas dire que nous devrons nous contenter de ces Justifications théoriques et pratiques touchant à ces démonstrations particulières. Je cite ces exemples pour montrer l'immense chemin qui nous reste à parcourir. Il serait bon, d'ailleurs que, avec nos lecteurs, nous réalisions comme une sorte d'inventaire des critiques et objections qui nous sont faites, que nous ne connaissons pas toujours dans leur expression vraie et que nous sous-estimions de ce fait, en croyant parfois résolus des problèmes qui ne sont pas toujours même posés explicitement. Et cela par nos collègues du premier degré, autant que par les professeurs de CC, et du secondaire, par les Inspecteurs et même par les parents mal informés et qui réagissent toujours en fonction de l'Ecole qu'ils ont subie et non en fonction de ce qui leur reste de logique et de bon sens.
- Trop de travail pour les maîtres ;
- Valables seulement pour les instituteurs d'élite ;
- Les dangers d'une discipline naturelle ;
- Nécessité des punitions, même corporelles ;
- Nécessité des leçons,
- Et l'interrogation ?
- les devoirs qui habituent les enfants à réfléchir;
(Comment peut- on concevoir une pédagogie sans devoirs?)
- Les notes et classements qui maintiennent la nécessaire émulation.
- Le problème des enfants paresseux, qui n'aiment pas le travail.
- Tout n'est ni simple ni agréable dans la vie. Il faut habituer les enfants à obéir.
- L'éducation suppose le silence.
- Il faut de 1'ordre. Mais quel ordre ?
- Il faut cultiver la mémoire.
- Les enfants sont pourtant heureux à l’Ecole si le maître sait s'y prendre.
- Il faut aimer les enfants.
- Il faut avoir la foi.
- Au lieu de laisser l'enfant s'épanouir dans son milieu, il faut le sortir le plus tôt possible de ce milieu pour l'intégrer au milieu des adultes.
- Valables seulement pour les instituteurs d'élite ;
- Les dangers d'une discipline naturelle ;
- Nécessité des punitions, même corporelles ;
- Nécessité des leçons,
- Et l'interrogation ?
- les devoirs qui habituent les enfants à réfléchir;
(Comment peut- on concevoir une pédagogie sans devoirs?)
- Les notes et classements qui maintiennent la nécessaire émulation.
- Le problème des enfants paresseux, qui n'aiment pas le travail.
- Tout n'est ni simple ni agréable dans la vie. Il faut habituer les enfants à obéir.
- L'éducation suppose le silence.
- Il faut de 1'ordre. Mais quel ordre ?
- Il faut cultiver la mémoire.
- Les enfants sont pourtant heureux à l’Ecole si le maître sait s'y prendre.
- Il faut aimer les enfants.
- Il faut avoir la foi.
- Au lieu de laisser l'enfant s'épanouir dans son milieu, il faut le sortir le plus tôt possible de ce milieu pour l'intégrer au milieu des adultes.
Nous n'avons pas la prétention de répondre à ces questions par des explications superficielles qui ne seraient que des mots sans conviction. Il faut que ces réponses, comme dans les articles de VUILLET et de COMBET, s’appuient toujours sur les soubassements essentiels de notre pédagogie, sur les nouvelles conceptions de la psychologie et des processus de croissance et d'acquisition.
C'est justement le rôle de cette revue de rechercher ces fondements, de rétablir les liaisons de façon à donner à nos camarades la culture Ecole Moderne qui leur permettra de retrouver en toutes occasions le fil d'Ariane qui leur fera découvrir les voies sûres de nos techniques.
A- LE TATONNEMENT EXPERIMENTAL.
Les travaux publiés cette année nous font déjà mieux comprendre la nécessité de cette reconsidération psychologique et pédagogique, l'urgence qu'il y a à mettre en valeur le principe central de notre psychologie : le TATONNEMENT EXPERIMENTAL, la genèse et l'évolution des Techniques de vie.
Bien sûr nous pourrions nous contenter de dire à ceux qui doutent : lisez donc notre ouvrage ESSAI DE PSYCHOLOGIE SENSIBLE APPLIQUÉE A L'EDUCATION, qui expose sous une forme éminemment simple et à la portée de tous, toutes ces données - complétées bientôt par L'EDUCATION DU TRAVAIL, corrigé depuis longtemps et que les Editions Delachaux et Niestlé tardent anormalement à sortir.
Mais, dans la pratique, nous le savons, rares sont ceux de nos correspondants qui ont le temps et la patience, de lire un livre évidemment copieux, bien qu’il soit de lecture facile. Et pour tant comment le faire connaître autrement ?
J'avais pensé à en donner l'essentiel sous forme de cours mais la parution tous les deux mois rend l'entreprise irréalisable J'en serai réduit à en exposer les éléments au fur et à mesure des objections qui nous sont faites et j'y serai grandement aidé par Vuillet et Combet qui ont déjà commencé ce travail.
B - LES CAHIERS DE ROULEMENT.
Certes, les études telles que les présentent Vuillet et Combet nous sont précieuses, et nous souhaitons que d'autres secondaires veuillent bien les aider dans cette œuvre indispensable.
Mais nombreuses sont les personnes intéressées par ces recherches qui, pour diverses raisons, n'écriront jamais de semblables articles. II est des gens qui sont susceptibles de faire d'excellentes conférences, qui parleront pendant deux heures, et d'autres qui seront au contraire à leur aise dans une discussion privée qu'il suffirait d'enregistrer.
Mais nombreuses sont les personnes intéressées par ces recherches qui, pour diverses raisons, n'écriront jamais de semblables articles. II est des gens qui sont susceptibles de faire d'excellentes conférences, qui parleront pendant deux heures, et d'autres qui seront au contraire à leur aise dans une discussion privée qu'il suffirait d'enregistrer.
Mais la réunion de ces collaborateurs éventuels nous est impossible ; nous ne pourrons donc ni discuter de vive voix ni enregistrer.
A défaut, nous allons employer un procédé qui nous a valu depuis deux ans un progrès sans précédent : les CAHIERS DE ROULEMENT.
A titre expérimental J'ai donné le départ à un premier cahier axé sur les PROCESSUS SCIENTIFIQUES. J'ai donné mes premières impressions et j'ai adressé à M- Yves Bourlet, Professeur au Collège de Lannion ( Côtes du Nord), qui fera suivre à Le Bohec, le circuit continuera par Bertrand, Delbasty, Guillard, Vuillet, Bernardin, C. Freinet.
Celui qui reçoit le cahier le lit, y donne librement son point de vue et fait suivre dans les quatre jours au suivant marqué sur la liste de roulement, A la fin du circuit nous avons dans ce cahier des documents de grand intérêt à utiliser dans notre revue.
D'autres cahiers pourront être lancés librement par n'importe quel camarade sur un des termes ci-dessus. Nous demanderons seulement qu'on veuille bien nous communiquer l'essentiel de leur contenu.
Cette première expérience nous permettra de décider à Vence le lancement d'autres cahiers.
C - LES QUESTIONNAIRES.
Nous avons hésité à envoyer des questionnaires parce que nous craignions qu'ils ne nous amènent aucune réponse intéressante et utilisable.
Or, le premier thème, L'ATTENTION, qui peut fort bien être lié au deuxième: EFFORT ET VOLONTE, nous a valu déjà un dossier important que M. Combet a étudié et dont nous pourrons extraire un premier rapport pour TECHNIQUES DE VIE n° 5.
Nous serions particulièrement heureux d'avoir des réponses de professeurs du 1er degré sur ce thème qui a été traité surtout pour les primaires.
L'enquête sur la DISCIPLINE suivra.
AUTRES ENQUETES POSSIBLES ; Voici ce que nous écrit à ce sujet BERTRAND (Landes).
« Il faut reprendre toutes les enquêtes sur le JEU et le TRAVAIL »
Puis élément à jamais nouveau dans la pédagogie, nous ajoutons un 3ème terme à l'équation EDUCATION. A l'éducateur, à l'éduqué; nous adjoignons le MILIEU EDUCATIF, ce milieu qui permettra d'atteindre la création continuelle de soi ( article de Combet sur Alain ).
C'est, trop rapidement énoncés, les points essentiellement originaux et neufs de la pensée de Freinet ;
- L'élan vital (expériences - tâtonnement )
- L’Education du Travail ( Travail - Jeu )
- Le milieu éducatif ( l'outil pédagogique)
- La création de soi (expression libre)
- L'élan vital (expériences - tâtonnement )
- L’Education du Travail ( Travail - Jeu )
- Le milieu éducatif ( l'outil pédagogique)
- La création de soi (expression libre)
Voilà pourquoi nous pouvons attirer à nous tous les pédagogues sincères, inquiets et soucieux d’efficacité. Nous aimantons leur sympathie parce que notre nouveauté est vraiment réelle, neuve, efficace et raisonnable parce que pratique et mise en œuvre.
La véritable éducation – l’Idéale - c'est la conquête de soi, la conversion à soi, la libération de soi. Autrement tout n’est que dressage et domestication.
Voilà la première fois que l'on accorde à 1'éduqué une part active à sa propre éducation, alors que jusqu’à maintenant, seul l'éducateur agissait.
Les professeurs de pédagogie ont 1’habitude de dire : L'éducateur doit AIMER ses enfants.
FREINET a apporté une autre réponse.
Parmi ces divers éléments il nous sera facile de choisir en août ceux qui nous paraîtront les plus urgents et les plus fertiles.
COLLOQUE INTERNATIONAL DE VENCE
les 28 et 29 AOUT PROCHAINS
A l'ordre du Jour :
- Rapport sur le travail de 1'année. Etude critique et conséquences qui en découlent.
- Etude de quelques-uns de nos thèmes majeurs :
- Etude de quelques-uns de nos thèmes majeurs :
- Tâtonnement expérimental pour les diverses disciplines
- De la pratique à la théorie
- Le monde des enfants
- De la pratique à la théorie
- Le monde des enfants
- Résultat des enquêtes en cours - Enquêtes nouvelles,
- Organisation du travail - Cahiers de roulement,
Nous lançons d'autre part quelques invitations personnelles. Mais tous les camarades qui, se trouvant dans la région, pourraient participer à nos travaux, seront les bienvenus.
- Organisation du travail - Cahiers de roulement,
Nous lançons d'autre part quelques invitations personnelles. Mais tous les camarades qui, se trouvant dans la région, pourraient participer à nos travaux, seront les bienvenus.
C. FREINET
QUESTIONNAIRE A RETOURNER A FREINET-VENCE
NOM et ADRESSE :
1- Dans 1'ensemble, la revue vous a-t-elle paru intéressante comme répondant partiellement du moins au souci qui a justifié sa création ?
2- Quels sont, selon vous, les articles les plus utiles ?
3- Quelles critiques pourriez-vous apporter aux points de vue exposés par nos divers collaborateurs ?
4~ Quels sont les thèmes que vous voudriez voir étudier dans la revue ?
5- Pouvez-vous nous apporter votre collaboration ?
6- Avez-vous essayé de constituer dans votre département une Commission de travail TECHNIQUES DE VIE et d'organiser un colloque?
7- Connaissez-vous des personnalités susceptibles de s'intéresser à notre revue et à qui nous pourrions faire le service ?
8- Etes-vous partisan des Enquêtes avec questionnaire ?
9- Comment selon vous, pourrions-nous élargir le débat ?
10- Désirez-vous vous inscrire dans un circuit de Cahiers de Roulement ? Sur quel thème de préférence ?
1- Dans 1'ensemble, la revue vous a-t-elle paru intéressante comme répondant partiellement du moins au souci qui a justifié sa création ?
2- Quels sont, selon vous, les articles les plus utiles ?
3- Quelles critiques pourriez-vous apporter aux points de vue exposés par nos divers collaborateurs ?
4~ Quels sont les thèmes que vous voudriez voir étudier dans la revue ?
5- Pouvez-vous nous apporter votre collaboration ?
6- Avez-vous essayé de constituer dans votre département une Commission de travail TECHNIQUES DE VIE et d'organiser un colloque?
7- Connaissez-vous des personnalités susceptibles de s'intéresser à notre revue et à qui nous pourrions faire le service ?
8- Etes-vous partisan des Enquêtes avec questionnaire ?
9- Comment selon vous, pourrions-nous élargir le débat ?
10- Désirez-vous vous inscrire dans un circuit de Cahiers de Roulement ? Sur quel thème de préférence ?