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Le musée de l'école de La Farlède

Mardi 5 février 2013, nous avons visité le musée de l’école. Il est en dessous de notre  école, et même en dessous de notre classe. Madame Monique Broussais nous a présenté le musée. Pour rentrer dans la classe, il y avait 2 rangées, une avec les filles, l’autre avec les garçons. Les filles rentraient en premier.

 


 

 

Madame Broussais nous a montré les plumes, les porte-plume et les porte-crayons.  

 

Pour  calmer les enfants qui faisaient trop de bruit,  le maître ou la maîtresse utilisaient le claquoir.

Quand un enfant n’était pas sage, on le mettait au coin avec un bonnet d’âne.

 

Le soir, pour rentrer chez eux quand il faisait nuit, les enfants avaient une petite lampe avec une bougie pour repérer leur chemin.

 

Les enfants riches avaient des cartables en cuir. Les plus pauvres avaient un sac en toile de sac de pomme de terre.

 

                               Cartables en cuir pour les enfants riches                       sac en toile de jute (venant d'un sac de pomme de terre) cousue par la maman d'un enfant pauvre

 

 

Le guide-chant, c’est un instrument de musique à air.

 

 

Le maître n’avait pas l’air très gentil. Il avait une blouse usée.

Le bureau du maître était sur une estrade en bois pour mieux voir tous les élèves.

 

 

Les feutres et le plastique n’existaient pas.

Sur l’armoire, il y avait une bouteille d’encre violette avec un bec pour remplir les encriers des enfants.

    

bouteille d'encre violette avec un bec pour verser dans les encriers en porcelaine que l'on mettait dans des trous avec un buvard dans les bureaux en bois.

 

 

Le boulier servait à apprendre à compter. Il y a 10 lignes de 10 boules, ça fait 100 boules.

Avec ça, on apprenait à faire des additions.

Les enfants écrivaient avec des craies sur des ardoises : c’étaient de la pierre gris noir entourée de bois, et c’était fragile.

 

 

 

Les bataillons scolaires

Dans la classe, il y avait des fusils en bois pour faire semblant de faire la guerre : on entraînait les garçons pour qu’ils deviennent de bons soldats.

Entre 1870 et la Première Guerre Mondiale, les enfants étaient entraînés pour faire la guerre parce qu'on leur disait qu'il fallait reprendre l'Alsace et la Lorraine aux Allemands. Après la Première Guerre Mondiale, les 2 régions sont redevenues françaises, mais ça a été une guerre terrible avec beaucoup de morts, et on beaucoup pensaient "plus jamais ça !"(la maîtresse)

 

 Vendredi 8 février 2012

Le musée nous a prêté 6 porte-plumes et 2 encriers.   Nous avons essayé d'écrire  avec.

 

2012-2013