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Echanges dans le secondaire

Avril 2002

 

 

Échanges dans le secondaire 

 


Sophie S, Jessica A, troisièmes  
"A l’encre"

 

Emilie J, Nabila M, cinquièmes   
"Le train"
 
On voyage dans un train mais nous ne le voyons pas, donc nous avons voulu montrer le train.
Dans ses œuvres, Franck Scurti utilise des objets du quotidien : pour faire note train, nous avons voulu nous auss
i utiliser des objets du quotidien.
 

 

 Inspiré de "Chairs" de Franck Scurti

Des sièges en aluminium reprenant la forme des couvercles usagés des canettes de bière (en s).
 
 
Audy M, Maxence P, Thibaud D, troisièmes
 
 “Cosmobilis”
 

Ceci est une maquette du mobilier que l’on trouvera peut-être dans le futur, un genre de prédiction pour devancer le temps aujourd’hui. Ceci nous semble un peu extraterrestre mais le design et les économies sont deux clés de l’avenir et nous autres, sommes tous invités à devenir quelque part ingénieurs.
Cet esprit d’évasion vite pensé, semble être propre à Scurti.
Notre but était d’arriver à ce que le mobilier soit bon, donc utilisable en grandeur nature. En plus de tout cela, nous avons essayé de trouver des systèmes pour gagner de la place (pour se doucher, etc.). Au cours de la création, on arrivait à imaginer du mobilier en coupant ou déformant la cannette à n’importe quel endroit. Bien que manquant de temps, nous sommes arrivés à un résultat qui nous satisfait.

 

 

 

Inspiré de "Chicago Flipper"
de Franck Scurti

 
La métaphore du piéton dans la ville américaine qui est assimilé à une balle dans un jeu de flipper, son du jeu de flipper, images d’un déplacement dans la ville à ras du sol avec des effets de zoom qui font « tilt » lorsqu’ils se heurtent à un objet.
 
 

Franck A-O, Romain R, Kévin M, sixièmes 

"La mouche"
 

Vidéo détériorée pendant les expos. Notre vidéo parle d’une mouche qui se cogne contre des murs. Le rapport avec Franck Scurti c’est que, nous, on a imaginé une mouche à la place de la balle de flipper.

 

Luce D, Emilie L, premières
 
"No boundaries ball"

« No boundaries ball », littéralement. La balle sans limite. Ce travail a été conçu sous forme de puzzle afin de créer une atmosphère éclatée en hommage à la vidéo. Nous avons souhaité, nous aussi, faire participer le spectateur.
   

"La technologie et après"

 


 

Marion M, cinquième

Franck Scurti recycle des boites de conserve pour leur donner une fonction (fauteuils). Moi, j’ai essayé de refléter ce que font les nouvelles technologies et leurs faces cachées. Le paysage "d’avant" et comment il est maintenant.

 

Christophe M, Aurélien L, cinquièmes

"3 objets à partir de boites de conserve"
une armoire, un cercueil, un lit.


Inspiré de "The city is not a tree" de Franck Scurti
 
Scurti a placardé les murs d’une cité d’affiches représentant une feuille d’arbre et appelant à le rechercher comme dans les westerns américains “wanted”…
 




 

Nawel E-C, Elodie S, Camille C,

cinquièmes

"Côté forme,
             côté nature"


Lucie L, cinquième
 
"La vache de la santé"

Dans son œuvre, Scurti veut nous dire qu’il recherche une feuille dans une ville où il n’y a pas d’arbres. Moi, je recherche une vache en bonne santé.


Josiane B, Marjolaine H, premières -

"Solidarité démocratique française"

 

 

 

Ce que je garde en moi comme moment le plus émouvant de cette expérience, malheureusement sans lendemain comme dans la plupart des projets, a été celui où j’ai surpris une élève de sixième et une élève de terminale discutant de leur production pour se rendre compte que quelque part leur travail avait des points communs. Les deux nouvelles amies se donnant rendez-vous au moment de l’exposition pour continuer à échanger. Hervé Nuňez

Jérémie G, troisième   "Lettre" 

F. Scurti aime à donner des messages à caractère politique ou sur l’environnement comme dans "Cool memories" ou dans "The city is not a tree".

Moi aussi, j’ai voulu faire une production qui délivre un message : pour cela, j’ai illustré une enveloppe avec des photos de la guerre 39-45.Il n’y a aucune ouverture facile, il faut "exploser" la lettre pour y découvrir son contenu.


Quand on voit ma lettre sans ouverture on ne sait pas quoi faire car on est pris au dépourvu, on n’est pas habitué, puis on décide de l’ouvrir en la déchirant.

C’est comme la guerre, en premier, on ne sait pas quoi faire, puis on s’adapte.Ensuite quand on voit qu’il n’y a rien dans l’enveloppe, on est "déçu" et on la jette, ou alors on cherche à savoir pourquoi il n’y a rien.
C’est aussi comme la guerre, quand tout est fini on la laisse tomber dans l’oubli, sauf les historiens qui cherchent à comprendre : pourquoi ? Comment ? Où ? Qui ?



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