Malgré l’espérance que provoque la montée du Front Populaire, la satisfaction de constater le développement des adhérents, Freinet exprime son amertume de n’être pas reconnu au sein des milieux syndicaux, politiques et littéraires, ce qui a nui au succès du Front de l’Enfance, c'est pour lui une profonde déception.
Freinet ne baisse pas les bras. Même si les luttes immédiates sont indispensables, il faut penser l’avenir et donc changer sans attendre la pédagogie pour arrêter d’abrutir la génération enfantine et jeter les bases pour la libération du peuple, pour une autre société et pour offrir aux parents une cohérence de pensée et de vie.