
Elles ont pour beaucoup contribué à la construction de l’Écolede la République, en la promouvant, en la faisant progresser, en s’attachant à la rendre plus démocratique au-delà de l’accueil de tous les enfants et de tous les jeunes, par un accès réel à la diversité des savoirs.
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| Déclaration commune 6 janvier 2010.pdf | 39.05 Ko |
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Communiqué du CAPE du 26 janvier 2015
Avec les 22 mouvements d’éducation qu’il regroupe, mouvements laïques d’éducation populaire
et pédagogiques, le Collectif des Associations Partenaires de l’Ecole publique (CAPE) rassemble quarante mille associations locales, six cent mille militantes, militants et bénévoles, quatre millions d’adhérents. L’action de ces mouvements bénéficie à plus de huit millions d’enfants. Le CAPE prend ainsi une part active à l’éducation dans, avec et autour de l’École sur l’ensemble du territoire.
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Membres du CAPE : AFEV, AFL, ATD Quart Monde, CEMÉA, CRAP-Cahiers pédagogiques, Éclaireuses et éclaireurs de France, Éducation & Devenir, Fédération française pour l’UNESCO, FESPI, Fédération Léo Lagrange, Fédération nationale des CMR, Fédération des AROEVEN, Fédération nationale des Francas, FNEPE, GFEN, ICEM-Pédagogie Freinet, Ligue de l’enseignement, Mouvement Français pour le Planning Familial, Mouvement français des Réseaux d’échanges réciproques de savoirs (Foresco), OCCE, Fédération Générale des PEP, Peuple et Culture.
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Le communiqué en PDF en fichier attaché
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Le 27 juin à Paris (CISP Ravel) de 10 h30 à 17 h
En pièces jointes
- Le document « AG du 27 juin », ordre du jour et rapport d'activité.
- Le dernier document finalisé du groupe de travail sur les rythmes éducatifs (Eclaireurs et Eclaireuses de France, Education et devenir, Francas, ICEM-pédagogie Freinet) .
- Le projet de convention entre le CAPE et le R-ESPE qui intègre les modifications proposées par le R-ESPE.
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| ag_du_27_juin_2014.doc | 117 Ko |
| contribution_groupe_rythmes_ag_juin_2014_.doc | 99.5 Ko |
| projet_convention_respe-cape_revu_ginestie-1.pdf | 189.37 Ko |
Pour l'audition au CSP (Conseil supérieur des programmes) d'une délégation du CAPE
Christine Vallin (Cahiers pédagogiques), Marie-Claude Cortal (Education et devenir), Sophie Dargelos (Francas) et Catherine Chabrun (ICEM-pédagogie Freinet).
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Communiqué du CAPE, le 3 février 2014
Intervention de Marie-Christine Blandin
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Collectif des Associations Partenaires de l'Ecole publique
Un site pour mutualiser et mettre à disposition les ressources et les actualités des organisations membres du Collectif des Associations Partenaires de l'Ecole publique.
Le CAPE (Collectif des associations partenaires de l'Ecole publique), janvier 2013
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Collectif des Associations Partenaires de l'Ecole publique, le 30 septembre 2011
Bibliothèque du ministère
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Compte rendu de la rencontre du CAPE avec le cabinet du ministre de l’Éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative
Une délégation du CAPE (Ligue de l’enseignement, FNCMR, GFEN, FRANCAS, ICEM, FOEVEN, Peuple et culture, CEMEA) a été reçue, pendant plus d’une heure et demie par Jonathan DERAY, chef de cabinet du ministre. Celui-ci était accompagné de Laurent BAYON, conseiller du ministre et Annie LAURENT chef du bureau des actions éducatives à la DGESCO.
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En introduction et au-delà de la lettre ouverte, Jonathan DERAY s’est félicité d’accueillir le CAPE pour la première fois, il a souligné l’intérêt d’un tel collectif et a rappelé les relations franches, directes et sincères du ministre et l’importance qu’il attache aux relations entre l’École et le milieu associatif. Ces relations ne sont pas un sujet périphérique aux préoccupations du ministre, mais un principe politique essentiel.
Les représentants du CAPE ont rappelé les raisons de la création de ce collectif, sa composition, associations éducatives, associations d’éducation populaire et mouvement pédagogiques. Ils ont également rappelé, qu’avant cette rencontre plus institutionnelle, le CAPE avait été en relation au ministère en contribuant aux travaux sur la violence à l’École et sur les rythmes scolaires.
En écho aux propos du chef de cabinet, les représentants du CAPE ont rappelé que le partenariat s’inscrivait dans le long terme et que les associations étaient inquiètes du retard de notification des subventions 2011 ou du solde de celles-ci. Ils ont indiqué que les associations subissaient une triple sanction, baisse des subventions, augmentation du coût des postes et retard de paiement. Ils ont demandé quand seraient connues les notifications 2011 et ce qu’il en serait pour 2012.
Ils ont dit leur incompréhension face au décalage entre les actes et les propos du ministre. Ils ont souligné que certaines d’entre elles étaient en situation délicate, affaiblies, voire en survie.
Le chef de cabinet a indiqué qu’il était bien conscient de la baisse des financements depuis plusieurs années et du retard important en 2011.
Il a fait preuve d’une réelle connaissance des activités des associations du CAPE par la lecture des communiqués de l’AEF ou la visite régulière des sites internet.
Il a rajouté qu’il était conscient de l’impact pour les associations, sur les emplois notamment, mais que la situation économique est « grave », que toutes les décisions budgétaires ne sont pas prises, du fait du gel budgétaire notamment, que les contraintes sont lourdes, mais qu’il n’est pas question de « faire le ménage » et de « saborder les partenariats associatifs qui font partie de l’essentiel ».
Il a dit avoir conscience des efforts considérables qu’ont faits les associations, pour la transformation des MAD en détachés, pour les bilans quantitatifs et qualitatifs… Il a redit la situation financière tendue, tant pour le programme enseignement scolaire que pour le programme jeunesse et la nécessité de penser globalement l’intervention du ministère. Il a tenu à mentionner qu’il n’y avait pas de décision idéologique, qu’il n’y aurait pas de convention, ni de subvention s’il n’y avait pas estime et qu’il convenait de valoriser concrètement ces partenariats, notamment au plan local.
Il a mentionné qu’il n’y aurait pas de bouleversement en 2012 sur le mode de fonctionnement, que les lignes budgétaires seraient connues en janvier et qu’il ne fallait pas escompter de pouvoir faire des demandes en hausse, dans un cadre budgétaire fortement contraint.
Il a confirmé que le ministère ne « laisserait jamais tomber une association » et qu’il s’inscrivait dans « un partenariat d’identité et de valeurs avec les associations ». Il a insisté pour que les associations recherchent d’autres modes de ressources et qu’elles renforcent les collaborations entre elles, pour couvrir tout le territoire notamment.
Les représentants du CAPE ont acté que les notifications devraient arriver dans quelques jours, et ont proposé qu’une rencontre annuelle puisse avoir lieu, sans que celle-ci prenne un caractère institutionnel.
Un deuxième document du CAPE sur les temps éducatifs, novembre 2012
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Plateforme du CAPE
Le collectif des associations partenaires de l’école publique (CAPE) a élaboré cette plateforme pour appeler à une refondation des politiques publiques d’éducation. Elle présente : ses ambitions démocratiques, pédagogiques, politiques, ses contributions spécifiques et ses convictions.
Communiqué de presse du CAPE du 2 novembre 2011
A deux mois de la fin de l’année 2011, le Ministère de l’éducation nationale vient enfin de notifier à la plupart des associations complémentaires, éducatives et pédagogiques le montant de son concours pour l’année… 2011.
Outre le fait que nombre d’institutions publiques ou privées, d’entreprises ne sauraient travailler sereinement dans une telle incertitude alors que la plupart des actions sont quasiment à leur terme, c’est à grands coups de ciseaux que ce ministère traite ses partenaires.
Pour les 20 associations constitutives du CAPE c’est au minimum, 14,25 % de baisse pour celles qui sont sous convention pluriannuelle d’objectifs et jusqu’à 50% voire plus pour certaines : aucune n’échappe au couperet. Cette politique est malheureusement continue depuis plusieurs années et pour la plupart des associations, l’aide de l’Etat a été amputée de moitié, voire plus encore, en 10 ans !
C’est le double discours bien connu maintenant : on flatte les associations pour leur contribution essentielle à la cohésion sociale, à l’innovation, à l’éducation globale de la jeunesse… et année après année on les étrangle ou on les contraint à la sous-traitance de la seule commande publique. Pourtant nos associations sont des partenaires loyaux, évalués régulièrement, responsables et indépendants. Alors, ne serait-ce pas cette indépendance qu’on leur fait payer ?
Qu’est ce qui motive une telle politique ? Quel est l’intérêt des dirigeants d’un pays d’affaiblir celles et ceux qui agissent depuis de longues années pour l’éducation de 6 millions d’enfants et de jeunes, qui forment près de 100 000 de leurs éducateurs ou enseignants alors même que leur ministère a négligé leur propre formation professionnelle, qui emploient 20 000 salariés en équivalent temps/plein et mobilisent 200 000 bénévoles dans des activités destinées en priorité aux milieux les plus modestes et aux élèves en difficultés scolaires ?
Quel est le but inavoué d’un choix qui rendra la tâche des enseignants et personnels des établissements scolaires encore plus redoutable à l’heure où le système scolaire est à la peine, où l’Ecole de notre pays se singularise parmi les pays de l’OCDE par des difficultés grandissantes à faire réussir tous les élèves ? Pourquoi prendre le risque de priver l’Ecole, ses équipes, les parents, les enfants et les jeunes, les collectivités locales, les associations de proximité du précieux concours complémentaire et de l’accompagnement de nos mouvements ?
La crise et le déficit budgétaire sont invoqués. Un gouvernement peut toujours dire que l’éducation coûte cher. Il peut même essayer l’ignorance.
Cet argument ne tient pas sauf à en assumer les conséquences, sauf à faire le choix de sacrifier l’avenir au profit de bien maigres économies qui feront de bien grands dégâts.
A l’heure où se prépare le budget 2012, nous interpelons solennellement le Ministre de l’éducation nationale, la représentation parlementaire et les collectivités sur les effets ravageurs d’une telle politique pour quelques centaines de milliers d’euros d’économie. D’autant que les premiers éléments connus de ce budget à venir, malgré les déclarations rassurantes du ministre de l’éducation nationale, laissent entrevoir d’autres coupes l’année prochaine.
Alors que depuis plusieurs années, les pays européens sont engagés dans un processus d’élévation générale des niveaux d’éducation justifié notamment par l’économie de la connaissance dans laquelle le monde entier est engagé, alors que jamais sans doute nos sociétés n’ont eu tant besoin que leurs enfants apprennent ensemble à vivre ensemble, les dépenses d’éducation sont des investissements du futur.
Un pays qui assume vraiment ses responsabilités à l‘égard des générations futures fait le choix d’investir dans l’éducation et la formation de toute sa population, l’éducation initiale, scolaire et non formelle, notamment pour préparer chacun à apprendre toute sa vie. Ce n’est pas manifestement le choix de ce gouvernement et nous le dénonçons.
Le CAPE, collectif des Associations éducatives et pédagogiques laïques Partenaires de l’Ecole publique, regroupe 20 associations éducatives complémentaires de l’Ecole et mouvements pédagogiques :
AFEV, AFL, Ceméa, CRAP-Cahiers pédagogiques, Eclaireuses éclaireurs de France, Education & Devenir, Fédération Française des Clubs UNESCO, FESPI, Fédération Générale des PEP, Fédération Léo Lagrange, Fédération nationale des CMR, FOEVEN-fédération des AROEVEN, Fédération nationale des Francas, GFEN, ICEM-Pédagogie Freinet, Ligue de l’enseignement, Mouvement Français pour le Planning Familial, Mouvement français des Réseaux d’échanges réciproques de savoirs (Foresco), OCCE, Peuple et Culture
Président :
Bruno CHICHIGNOUD
Ceméa, 24 rue Marc Seguin 75 883 Paris cedex 18
Tél: 06 09 49 15 81
bruno.chichignoud
cemea.asso.fr
Assistant administratif: David RAIMBAULT, 01 53 26 24 24
david.raimbault
cemea.asso.fr
Trésorier :
Eric FAVEY
Ligue de l'Enseignement, 3 rue Récamier, 75 341 Paris cedex 07
Tél : 06 07 59 33 71
efavey
laligue.org
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Monsieur Luc CHATEL
Ministre de l’Éducation nationale,
de la Jeunesse et de la Vie Associative
110 rue de Grenelle
75357 PARISP 07
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| CAPE - Lettre MEN septembre 2011 (au format PDF) | 76.5 Ko |