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Travailler sur le thème de la mode renvoie à la question de l’enveloppe corporelle et à ce que l’on donne à voir. Or, moi aussi, je suis à une période charnière de ma vie, je change de cap, de physique. L’immortalité de la jeunesse n’est plus là. Je pense à ce mot de Julio Cortàzar: «Nous étions si jeunes (…), cela nous était si facile de nous croire las de tout, de caresser l’image de la mort entre deux disques de jazz et un maté sans sucre, alors que nous possédions une solide immortalité de cinquante ou soixante ans à vivre.»
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