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En Afrique

Dans :  

 

 

 Création

 

Ensuite, ils choisissent l’atelier qu’ils souhaitent approfondir au cours de la dernière semaine. Il nous paraît important de permettre aux enfants de se donner le temps de faire, de regarder, d’expérimenter, d’essayer, d’imaginer, de refaire, de détruire ou de transformer leur projet initial.


Chaque atelier fonctionne donc plusieurs demi-journées. L’artiste est intervenu sur les quatre dernières. Il passe dans les groupes, relance, propose une idée, etc.

 

Dans l’atelier «tresses en volume», conseillés par Nabisco, les enfants ne s’orientent pas trop rapidement vers la réalisation finale. Ils prennent le temps de confectionner beaucoup de tresses et de laisser mûrir leurs idées d’ajouts possibles (perles, nœuds, coquillages, plumes, etc.).

   

 


Les tresses ne sont pas très faciles à faire : ça glisse, ça dérape, ça se défait. Les enfants sont amenés à s’entraider et à coopérer. Ils se mettent par deux ou trois pour faire leur création.

Les compositions sont induites par des disques en bois. L’objectif est de s’inspirer des coiffures africaines que nous avons observées sur de nombreuses photos mais il ne s’agit pas de faire des têtes africaines. Les enfants commencent par réaliser puis par peindre les supports. Ensuite, c’est le matériau qui oriente la création :

 

en hauteur pour les tresses très raides soutenues par du fil électrique, tombantes pour les tresses plus souples réalisées par exemple à l’aide de sacs poubelles ou de tissus.

 

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