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Regards d'eau

Dans :  Principes pédagogiques › 

 

 


Parallèlement, avec Amélie, liant le travail sur les paysages avec celui sur l’eau, les enfants observent Pluie, vapeur et vitesse de William Turner : «On a l'impression souvent que dans ses peintures, tout est mélangé, qu'il y a du brouillard.»

Pour dessiner des paysages dans le brouillard, elle leur propose d'utiliser le pastel sec : ils essuient le pastel déposé sur la feuille à l'aide d'un mouchoir en papier qu'ils tournent.

Dans le même temps, je choisis de leur montrer deux œuvres d’artistes qui ont représenté la mer.

La mer par temps calme selon Eugène Isabey (1806-1883) -

Les enfants regardent attentivement la couleur de l’eau, le traitement de la mer et du ciel dans ce paysage, puis représentent leur mer « par temps calme » en utilisant au choix peinture, pastel gras ou pastel sec.

 

 

Sous la vague au large de Kanagawa, gravée vers 1831 par Kanagawa-Oki Nami-Ura de Hokusaï - Là aussi, ils observent la couleur de l’eau et de l’écume de cette mer par temps agité. Pour dessiner une grande vague comme la sienne, les enfants s’entrainent à faire des gestes amples.

 

 

Ils choisissent pour la mise en couleur de l’eau et du ciel, encre, pastel gras ou pastel sec, pour l’écume, soit du coton, soit une sorte de pâte « chewing-gum », recette de l’ATSEM, constituée d’un mélange de peinture acrylique, de sucre et de colle blanche.



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l'eau, la mer
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avec Françoise Pacé, première rencontre
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