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Au fil de l'eau (suite)
D’une ville à l’autre
Après avoir dessiné in situ le pont des Chavannes puis imaginé et dessiné un pont, les élèves réalisent une maquette représentant d’un côté la ville réelle et de l’autre une ville imaginaire reliée par un pont.
La ville réelle
Pour représenter la ville réelle, les élèves prennent comme modèle le quartier autour de l’école et plus précisément les immeubles. ils apportent des petites boîtes d'emballage en carton qu'ils recouvrent de papier blanc déchiré en bandelettes enduites de colle à papier peint.
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Déchirer des bandes de papier.
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Les encoller.
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Recouvrir la boite.
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Laisser sécher.
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Un groupe d'élèves se charge de faire le sol sur lequel les villes seront assemblées.
Ils froissent des papiers pour donner du relief, collent du papier de soie bleu pour représenter l'eau.
 
Les maisons et les immeubles sont peints dans les tons marron, beige et gris
pour contraster avec le monde plus coloré de la ville imaginaire.
Une fois fenêtres et portes dessinées au feutre noir,
les bâtiments sont installés sur la maquette au milieu d'une verdure très éloignée de la réalité !
La ville imaginaire
Pour décrire la ville imaginaire,
les élèves s’inspirent des textes de la pièce de théâtre « A trop presser les nuages » de Philippe Gauthier,
auteur avec lequel ils travaillent dans le cadre du projet THEA de l’OCCE.
Pour réaliser les immeubles et les maisons de la ville imaginaire,
les élèves apportent des boites de formes différentes : arrondies, pointues, etc.
en opposition au monde « cubique » de la ville réelle.
 
Les boites sont assemblées pour réaliser des maisons hors du commun.
Les maisons sont recouvertes avec la même technique du papier mâché puis peintes avec des couleurs vives.
 
Une fois la peinture sèche, les élèves dessinent les ouvertures avec des feutres de toutes les couleurs.
 
Un groupe d'élèves travaille sur la transformation du pont.
Au fur et à mesure qu'il se rapproche de la ville imaginaire, il va prendre des couleurs.
D'autres élèves se chargent de peindre le sol en indiquant les routes, etc.
Enfin les maisons sont disposées et collées.
Nos créations sont exposées au mois de juin.
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