Patrimoine vivant - Philosophie
Recueil de textes libres d’élèves (Lycée Saint-Charles Marseille)
Le lien pour consulter le recueil:
https://fr.calameo.com/read/005635544e8286b35fd7e
Le présent volume recueille des textes d’expression libre rédigés par les élèves de la terminale TES1 du Lycée Saint-Charles en cours de philosophie durant l’année 2017-2018. Trois sections composent le volume. La première contient des textes libres rédigés en classe. Ce ne sont pas des textes finalisés en vue de publication, mais des travaux d’écriture réalisés en classe, tout au long de l’année. Certains de ces textes ont été lus par leurs auteur-e-s en cours. Le recueil ne contient que des textes sélectionnés par les élèves et/ou le professeur.
La seconde section comprend des textes issus d’un travail d’écriture plus long. L’occasion a été fournie par Agathe qui, dans un texte libre présenté à la classe, se demandait « comment savoir si nous vivons vraiment ? » Après avoir évoqué plusieurs pistes, elle posait une dernière question : « Alors, quel est le sens du mot ‘vivre’ ? » Nous avons pu alors parler de la rencontre avec Alain Badiou et le travail d’écriture sur la « vraie vie » a commencé. Il y a eu les temps individuels – écriture en classe d’abord, sur le temps dévolu au texte libre, puis chez soi, pour reprendre les textes et les réécrire – et les temps en commun – pour lire certains textes, interroger leurs auteurs, faire des remarques ou des propositions pour améliorer les textes. Les élèves allophones de l’UPE2A du Lycée ont également travaillé sur ce thème en vue de la rencontre, et un recueil de l’ensemble des textes d’élèves a été remis à Alain Badiou, qui a pu les lire avant de retrouver l’ensemble des élèves pour en discuter au mois de novembre.
La dernière section comprend des textes rédigés suite à un travail de lecture d’une œuvre choisie un jour de « marché aux livres ». Chaque élève avait un petit ouvrage à lire, puis devait composer un texte avec pour seule consigne que celui-ci devait avoir un rapport avec ce qu’ils avaient lu. Les écrits ont ensuite été édités sous le format de « petits livres », qui ont été confectionnés en classe, dans une collection que nous avons appelée « Intertextes ».
Denis de Casabianca