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Le haïku.
Le haïku est un court poème japonais de trois vers contenant chacun 5, 7 et 5 syllabes.
Voici les haïkus que nous avons écrits en cheminant le long du futur sentier d’interprétation et dans le village.
Nous avions mis tous nos sens en éveil pour mieux percevoir le monde qui nous entoure. Les bruits, les sons, les odeurs, les parfums, les couleurs, la lumière, les lignes du paysage, le contact des éléments avec notre peau… tout ce à quoi nous ne faisons pas toujours attention, tout cela, nous l’avons mis en mots.
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Au début, nous sommes allés dans le village pour sentir, voir, écouter toutes les petites choses que nous ne voyons pas tous les jours. Nous avons eu ensuite envie, à l’aide de nos cinq sens, de faire de la poésie et des haïkus.
Marianne.
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Nous avons fabriqué nos haïkus comme ça : nous sommes allés dans la nature, nous avons utilisé tous nos sens, nous aurions pu aussi utiliser le sens du goût.
Et voilà, c’est comme ça que nous avons écrit nos haïkus.
Mélaine.
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Les haïkus ont été inventés par les japonais. Pour écrire des haïkus, il faut aller dans la nature et écrire sur ce que l’on entend, ce que l’on voit, ce que l’on sent.
Honorine.
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Pour créer mes « haïkus », j’ai utilisé mes cinq sens: l’ouïe, l’odorat, la vue, le toucher et pourquoi pas, le goût.
Pour faire des « haïkus », il faut être détendu et s’installer en pleine nature.
Nathan.
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Dans nos haïkus, on a décrit tout ce qu’on entend, tout ce qu’on touche et tout ce qu’on sent. Bien entendu, aussi tout ce qu’on peut goûter.
Et, c’est tout ce qui m’a aidé à faire des haïkus.
Enzo.
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Nous sommes allés dans la nature et nous avons « développé » nos sens : l’ouïe, l’odorat, le toucher, la vue. On aurait pu aussi « développer » le goût. Et grâce à mes cinq sens, j’ai réussi à écrire des haïkus. Il faut aussi être détendu.
Laure.
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