Recherche archives : Le Nouvel Éducateur, 1999

Paul Le Bohec nous présente un outil de son invention, la cage à fils.Pour explorer l’espace à deux ou trois dimensions, voilà bien un objet aux multiples possibilités... à explorer, avec passion.



Parmi les priorités du Ministre : la prise de parole de l’élève.Aux savoirs fondamentaux, la charte du XXIe siècle ajoute et met en première position « le parler ». Depuis le temps qu’on le clame ! Si l’école se révèle être un flot de paroles,ces échanges sont trop brefs et l’oral semble canalisé par le maître, prisonnier du modèle question/réponse. Aider l’enfant à se décentrer, à argumenter pour qu’il parvienne à confronter ses idées avec l’autre, tel doit être notre objectif pour qu’il devienne auteur de ses dires, acteur-citoyen.

Après le symposium international Freinet (l996), la rencontre internationale des éducateurs Freinet en l’an 2000

Quand deux classes correspondantes vivent dans des milieux trop proches, les différences de mode de vie ne suscitent pas la curiosité.

Passés les premiers temps de la découverte, l’intérêt de l’échanges’amenuise. Pour dynamiser la correspondance, Jean-Marie Fouquer et

Alain Lemasle* ont proposé un projet fédérateur : la préparation d’unséjour coopératif autogéré en classe de mer.

Le renforcement des liens entre l’école et les parents s’affirme comme un pari de la réussite scolaire de l’enfant.Pourquoi ? Comment ? Voici un dossier qui aborde la question du choix éthique de l’éducation par la coopération face à une société du tout évaluation où l’école ne véhicule qu’un rang, une hiérarchisation des personnes et où chacun se cantonne à ses statuts.



La première partie du dossier, parue dans le numéro précédent, reposait globalement, dans sa complexité, la question de l’éducation du corps. Dans cette deuxième partie, nous abordons la question de l’éducation par le corps : le corps, outil premier, étape première de la conceptualisation.