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Recherche archives : Le Nouvel Éducateur, Gérald Schlemminger

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Le fichier autocorrectifs : quelques rappels historiques

Dans :  Techniques pédagogiques › outils › Techniques pédagogiques › 
Décembre 1994

La discussion sur les fichiers autocorrectifs remonte à celle sur l'enseignement programmé et la pédagogie expérimentale des années 1920-1930. Elle s'est développée autour des notions telles que « la pédagofiche », « la studiométrie », « le fichier scolaire coopératif »... Le Mouvement Freinet avec les « Imprimeurs à l'école » a participé activement à ce débat et plusieurs militants du mouvement dont Célestin Freinet, se sont attachés à produire des fiches de calcul. La discussion dans le mouvement Freinet est attisée par les positions et les travaux de Carl Washburne qui était en train de se faire connaître en Europe à travers les différents congrès pédagogiques internationaux et la publication de quelques articles résumant ses travaux. C. Washburne, inspecteur et administrateur des Ecoles Publiques de Winnetka (USA), fut le premier, à notre connaissance, à expérimenter l'auto-instruction par exercices individuels programmés, et à publier un programme autocorrectif complet en calcul. Son approche est d'ailleurs appelée aussi « la méthode Winnetka ».

 

La pédagogie Freinet et l'enseignement des langues vivantes

Juin 1996

Pour un enseignant Freinet, il n'est pas nouveau de penser la classe au­trement, de mettre en place une pra­tique autre. Cette visée militante devient de plus en plus une nécessité professionnelle si l'on veut faire face aux conditions nouvelles d'enseignement.

Evolution de la pédagogie Freinet en Allemagne

Décembre 1995
La formation des (futurs) ensei­gnants à la péda­gogie Freinet
 
Face à la formation pédagogique et didactique des enseignants, considé­rée comme insuffisante et défici­taire, des enseignants et chercheurs en marge de la pédagogie officielle ont institué, au début des années 80, des "lernwerkstätten" d'inspiration américaine ("workshops"). Il s'agit de lieux gérés en autonomie (indépendante de la formation offi­cielle) où on trouve toutes sortes d'outils, de matériels, souvent très manuels et pratiques (1). Des étu­diants, des enseignants, voire des élèves fréquentent ces lieux, en quête de nouvelles approches / mé­thodes / outils pédagogiques.
Ces dernières années, ces centres ont été "récupérés" par des universités (voire des écoles) "progressistes". Les centres reçoivent alors des sub­ventions, constituent la partie "non officielle" de la formation à la pro­fession d'enseignant ; certains dé­partements de Sciences de l'Education (2) arrivent à les intégrer et à les faire reconnaître comme "Unité de va­leur" dans un cursus nouveau d'études. Les étudiants prisent beau­coup ces centres très pratiques. On peut dire qu'il y a un certain en­gouement pour ce type de formation. On parle même d'un mouvement ("Lernwerkstatt-Bewegung"). Cette évolution va de pair avec un renou­veau des différentes tendances du "mouvement des réformes pédagogiques" (pédagogie de Peter Petersen, de Mon­tessori, de Steiner etc...).

La pédagogie Freinet dans l'enseignement supérieur

Octobre 1998

L’image que nous avons de l’enseignement supérieur c’est un prof devant des étudiants assis dans un amphithéâtre. Utilisant les techniques Freinet, Gerald Schlemminger nous donne un exemple d’enseignement centré sur l’étudiant, un étudiant qui s’exprime, qui communique et qui produit coopérativement.