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Recherche archives : Pour les enseignants, Philippe Perrenoud

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Les devoirs du soir : pourquoi parler de l'essentiel quand il est si amusant de parler de devoirs?

Dans :  des droits › Formation et recherche › 
Décembre 1993

Finirai-je par m'y faire? Comme sociologue de l'éducation, je devrais être habitué à voir l'école foncer tête baissée dans des débats sans issue. Pourtant, j'ai parfois du mal à conserver ma sérénité. Je vois trop la face cachée des choses : encore une fois, un dialogue de sourds risque fort de détourner les interlocuteurs de l'essentiel et de les laisser aigris et fatigués, peu disponibles pour parler sérieusement d'autre chose
pendant un bon bout de temps.

Il reste à convaincre tous les professeurs que l'organisation du travail devrait être leur affaire

Dans :  Formation et recherche › 
Décembre 2003

Les travaux sur la fabrication des inégalités et de l’échec scolaire ont conduit Philippe Perrenoud à s’intéresser au métier d’élève, aux pratiques pédagogiques, à la formation des enseignants, au curriculum,au fonctionnement des établissements scolaires, aux transformations du système éducatif et aux politiques de l’éducation.
(extrait du Café pédagogique n°38, septembre 2003, http://www.cafepedagogique.net )

Réfléchir ou agir ensemble ?

Dans :  Formation et recherche › Organisation de l'école › 
Mars 2001

Après avoir mis les pédagogies nouvelles en question (voir le Nouvel Educateur 121), Philippe Perrenoud, sociologue de l’Université de Genève, propose ici, un cadre de réflexion sur le travail en équipe. Puisse son texte nous éviter de tomber dans les dérives qu’il évoque.

 

 

Les pédagogies nouvelles en question

Septembre 2000

       Cet article tente d’interpeller, dans un esprit constructif, les enseignants et les parents engagés en faveur des pédagogies nouvelles. On connaît le mauvais esprit de certains sociologues, qui s’offrent parfois le malin plaisir de remuer le couteau dans la plaie. On leur reproche volontiers de donner des arguments aux adversaires d’une bonne cause. Ne vaut-il pas mieux être toujours plus lucide que ses détracteurs ? Un article de Philippe Perrenoud*.