Vous vous plaignez, non sans raison, je le sais : classes trop chargées, impossibilité d’y travailler ; nécessité de réduire les effectifs !
Et vous êtes là, à mesurer à une unité près, le chiffre normal à ne pas dépasser. Vingt-cinq ou trente élèves : cela devient en Suisse, m’a-t-on dit, un vrai problème national.