A l’heure où nos techniques connaissent une faveur croissante, même dans les milieux officiels, nous croyons devoir dénoncer encore une fois le verbalisme extrémiste d’éducateurs qui, persuadés que nous n’allons pas assez vite ni assez loin, voudraient bien, en paroles, prendre la tête du peloton pour conduire notre mouvement à une faillite qu’ils seraient les premiers ensuite à stigmatiser.