Raccourci vers le contenu principal de la page

Recherche archives : Pour les enseignants, L'Éducateur, Éditions de l'École Moderne Française, Célestin Freinet, revue, 1946

Résultats 1 à 10 parmi 24

Résultats

L'ÉCOLE MODERNE ne se construit pas avec du Verbiage

Octobre 1946

C'est une idée sur laquelle nous aurons à revenir bien souvent pour qu’elle imprègne progressivement et victorieusement toute l’évolution pédagogique française.

La vraie place de l’observation dans nos techniques

Décembre 1946

Nous avons trop tardé, à notre gré, pour l’étude particulière de cette question qui risque de devenir comme un cheval de bataille pour un dernier assaut de la scolastique contre la vie. Un excellent article de M. Lhotte, inspecteur primaire, dans le MANUEL GENERAL du 7 décembre, sous le, titre « Les méthodes actives et l’exercice d’observation », nous est une occasion pour cette mise au point.

DITS DE MATHIEU - Geôles de jeunesse captive !

Décembre 1946

Seriez-vous en mesure de connaître avec certitude, et en un clin d’œil, la valeur pédagogique des maîtres d’une école, l’adaptation technique de leurs classes aux besoins fonctionnels des enfants, et donc l’intérêt profond et naturel que ceux-ci portent à leur travail, et cela sans même pénétrer dans une classe, sans interroger ni maîtres ni élèves ?

Entrez dans les w.-c.

En réponse à des S.O. S.

Dans :  Formation et recherche › formation › 
Décembre 1946

 

 

C’est toute la tragédie de l’Ecole Française, toute la tragédie des jeunes Instituteurs qui s’expriment à travers ces S.O.S. quotidiens.

Dits de Mathieu - Sur la vie et le travail... ALIGNEMENT !

Décembre 1946

« L’enseignement des arriérés, dit Dottrens, l’excellent pédagogue suisse, a permis de perfectionner certaines méthodes pédagogiques et parfois de transformer complètement celles-ci. »

Une étape de plus dans l’organisation du travail de notre Institut

Novembre 1946

Nous ne sommes pas de ceux, on le sait, qui créent sur le papier des organismes qui tournent à. vide — ou ne tournent pas du tout. Nous marchons d’abord, et c’est chemin faisant, à même les nécessités complexes de notre travail, que nous procédons à une organisation qui n’asservira pas nos initiatives, mais les exaltera et les renforcera.