Il faut, à nos enfants, du pain et des roses.
Le pain du corps, qui maintient l’individu en bonne santé physiologique.
Le pain de l’esprit, que vous appelez instruction, acquisitions, conquêtes techniques, ce minimum sans lequel on risque de ne pas atteindre à la santé intellectuelle souhaitable.
Mais les roses aussi. Non point par luxe mais par nécessité vitale.