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Recherche archives : Pour les enseignants, Formation et recherche, revue

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Résultats

Education et sexualité

Dans :  Formation et recherche › connaissance de l'enfant › 
Juillet 1970
Auteur :

Calcul vivant et recherche

Dans :  Formation et recherche › Techniques pédagogiques › 
Juillet 1970
Auteur :

Regard d'un psychanalyste sur la pensée de Freinet

Dans :  Formation et recherche › Mouvements › mouvement Freinet › Formation et recherche › connaissance de l'enfant › 
Mai 1998

Jacques Lévine, le passeur de relais
Longtemps, l’initiation à la pensée de Freinet s’est limitée à la présentation des outils scolaires et des modes d’organisation de la classe. Actuellement, la demande des enseignants porte moins sur les méthodes de présentation des connaissances que sur l’acquisition de la capacité à faire face aux demandes réelles des élèves, surtout dans les collèges et les lycées. Ces demandes deviennent transparentes lorsqu’on réussit à les faire parler en confiance comme cela se produit souvent en séances de « conseil ». Même scénario chez les ensei-
gnants eux-mêmes.
La concertation ne s’improvise pas. Quand j’ai vu intervenir Jacques Lévine dans une école à Paris, ce qui m’a conquis c’est sa sérénité, sa capacité à faire éclore les sincérités d’analyse. Dimension du groupe ? Pas celles d’un public, mais d’un petit nombre, au début 2 ou 3 enseignants, essayant de préciser leurs difficultés, pas à pas. Le fait d’en parler amorçait déjà chez certains l’entrevue de solutions. Il y a incontestablement entre Lévine et Freinet des traits communs : la simplicité, la clarté, l’évidence et la chaleur du propos. Que ce soit devant une grande salle ou au milieu d’un petit groupe, Freinet et Lévine savent écouter beaucoup, plaisanter pour alléger les moments dramatiques, permettre l’écoulement lent et hésitant des témoignages. Cette vertu des psychanalystes, il est nécessaire de l’éclairer et de la transmettre aux enseignants en leur apprenant à casser, ne serait-ce qu’un moment, la dynamique de violence engendrée par l’effet masse de nos classes.
Roger Ueberschlag

Réduire le hiatus entre l'école et la vie

Dans :  Formation et recherche › 
Avril 1998

Au travers de nombreux articles de presse ou d’émissions télévisées apparaît actuellement un même thème : A quoi sert l’école ? De plus en plus de gens posent ce problème du hiatus entre l’école et la vie. Mais cette remise en cause n’est perçue que dans un sens unique : celui du réinvestissement ou du transfert de savoirs, de connaissances dans les activités professionnelles surtout.
Nous pensons qu’il s’agit là, justement, des méfaits de la scolastique et nous défendons ci-dessous, avec Célestin Freinet, la nécessité pour l’école de prendre en compte, aussi en sens inverse, l’enfant dans son milieu afin qu’il construise mieux ses savoirs et pour réduire les effets de cette scolastique.
Cette nécessité est encore plus aiguë dans les écoles urbaines, celles des banlieues et des ZEP.
Les méthodes naturelles d’apprentissage, nous le savons bien, peuvent atténuer fortement ce hiatus et par conséquent l’exclusion.

Pour un nouveau regard sur les pratiques enseignantes

Dans :  Formation et recherche › 
Mars 1998

Marc Bru veut s’intéresser aux pratiques enseignantes pour essayer de comprendre comment elles fonctionnent dans leurs rapports aux apprentissages.
Différentes études ont montré que les progrès des élèves dépendaient de l’établissement et de la classe fréquentés ainsi que de variables scolaires parmi lesquelles « l’effet-maître » semble avoir une part non négligeable. Mais on n’est pas aujourd’hui en mesure de préciser les différentes composantes de cet « effet-maître » :
– la personnalité de l’enseignant
– ses caractéristiques sociales et professionnelles
– la méthode d’enseignement utilisée
– les savoir-faire professionnels...
D’autres  études,  dans  une  approche  dite  « processus-produit », ont essayé de savoir en quoi les différentes modalités de la pratique enseignante (processus) infléchissent les progrès des élèves (produit). Les conclusions de ces travaux sont à prendre avec beaucoup de réserve. Néanmoins, elles permettent de mettre en évidence les principales variables du processus d’enseignement et leurs modalités les plus souvent liées aux progrès des apprentissages.

Auteur :

A quoi sert le texte libre ?

Dans :  Français › Formation et recherche › Techniques pédagogiques › 
Avril 1997

Les points de vue développés ici sont les résultats d'une partie des recherches empiriques que P. Clanché, professeur de Sciences de l’Education à l’Université Victor Ségalen Bordeaux II, mène actuellement sur le texte libre et sa pratique :

- recherche extensive sur le produit : analyse de l'évolution du texte libre à l'école élémentaire (7500 textes écrits par 200 enfants de six à dix ans).
- recherche sur les processus de production : expérimentation on line, suivie d'entretiens à chaud et d'entretiens semi directifs sur les processus métacognitifs de production.
- recherche sur la réception du texte libre : analyse de séances de lecture et questionnaire enfants et parents sur l'utilité et la réception.
- recherche historique sur l'origine du texte libre.

Motivation... Démotivation

Dans :  Formation et recherche › Formation et recherche › connaissance de l'enfant › 
Décembre 1997

"On ne fait point boire le cheval qui n'a pas soif..." (1)

Revenir sur ces concepts de motivation naturelle ou artificielle et de non - motivation nous paraît plus important que jamais. L'actualité montre, en effet, que beaucoup de problèmes concernant les apprentissages généraux et professionnels chez les jeunes adultes en formation qualifiante, chez les adolescents et même chez les enfants à l'école élémentaire, proviennent d'une "résignation apprise" face à des situations de contrainte, de surcharge mentale, d'absences d'objectifs ou de perspectives.