Qu’on le veuille ou non l’affaire Freinet est aujourd’hui virtuellement terminée puisque nous n’avons pu obtenir ni mon maintien à St-Paul, ni la moindre sanction contre les coupables des événements dont nous avons été victimes.
L'affaire Freinet vient de poser brutalement et impérieusement au grand public, aux pédagogues et aux intellectuels — à l'administration aussi — un certain nombre de questions de principe qu'on n'aime pas discuter ordinairement dans les revues professionnelles et qu'il est nécessaire aujourd'hui de mettre au point afin d'en tirer les enseignements qui s'imposent pour l'évolution et le développement de nos techniques.