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Recherche archives : la paix/la guerre, L'Éducateur, revue

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L’Education et la Paix

Mai 1948

On en parle périodiquement, après chaque catastrophe. Les discours les plus habiles et les plus généreux projets d’après 1918 n'ont point gêné ni la préparation ni le déroulement de la dernière guerre.

Forger la Paix

Avril 1949

Ainsi donc après l’expérience, que nous aurions pu croire définitive, de la deuxième, guerre mondiale, quelques années à peine après une libération qui nous a tant coûté, mais qui avait suscité aussi tant d’enthousiasmes et tant d’espoirs, la guerre est là encore, plus menaçante que jamais avec, sur notre territoire même, son cliquetis offensant de tanks, d’avions et de généraux, avec le chantage macabre de la bombe atomique.

Dits de Mathieu - les laboratoires de la paix

Janvier 1951

Si on vous disait qu’il existe, dans un coin du monde, un laboratoire immense, dans lequel une armée d’ouvriers dévoués travaillent à longueur de journée une matière délicate qui peut, au gré des gouvernements ou des peuples, être asservie à la guerre ou devenir le plus décisif et le plus définitif facteur de paix, resteriez-vous indifférents ?

Nous sommes des pédagogues et non des politiciens

Novembre 1950

Dans le premier numéro de L'Educateur, j’avais proposé comme thème central de discussion pour notre prochain Congrès de Montpellier : « Nos techniques au service de la Paix ».

J’avais « proposé », en annonçant que nous allions discuter de l’opportunité d’un tel thème dans L'Educateur et Coopération Pédagogique. Ce qui a été fait.

Luttons pour la paix

Novembre 1952

Nous profitons de cet appel à l’action que nous faisons aujourd’hui aux organisations laïques et aux syndicats en particulier pour rappeler que nous avons moins que jamais la prétention de créer et d’animer un mouvement autonome qui se substituerait plus ou moins aux organismes normaux de défense que la classe ouvrière s'est forgés.

DITS DE MATHIEU - L’Éducation est le ciment de la paix

Novembre 1956

L’homme sera-t-il toujours un loup pour l’homme ? Les jeunes générations ont-elles si totalement désappris ce sage avertissement d'Anatole France au lendemain de la « grande guerre mondiale » ; « On croit mourir pour la Patrie, on meurt pour des industriels » ; et cette autre parole d’un pacifiste : « Deux armées qui se battent, ce sont deux peuples qui se suicident » ?