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Recherche archives : L'Éducateur Prolétarien, Célestin Freinet, février 1933

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Résultats

Le maire de Saint-Paul contre l'école laïque

Février 1933

Nous récapitulons ici les griefs graves que nous faisons au Maire de Saint-Paul dans l’affaire en cours.

Les locaux scolaires. — Ils sont dans un état déplorable contre lequel le médecin cantonal a, à plusieurs reprises, protesté avec nous :

Première classe sans soleil durant l’hiver : plancher délabré et bosselé, bancs branlants et démolis.

La chronologie mobile d'Histoire de France

Février 1933

La Chronologie mobile d’Histoire de France

Dans le N° 3 de notre revue nous avons donné quelques indications théoriques sur notre conception de l'enseignement historique.

Cette courte étude devait servir de préface à une édition que les événements de ces derniers mois ont malheureusement retardée mais qui est aujourd’hui à l’imprimerie et que nos camarades pourront recevoir aux environs de Pâques.

L’Administration contre l’Ecole

Dans :  l'Education Nationale › Mouvements › Mouvements › mouvement Freinet › 
Février 1933

Etranges procédés

 

L’Administration des Postes aux côtés de ceux qui tentent de saboter notre effort

Février 1933

Depuis 1927, je publie une revue pédagogique “ L’Imprimerie à l’Ecole ». Cette revue, comme toutes les publications remplissant les conditions requises par la loi circulait librement au tarif réduit des périodiques.
Brusquement, en mars 1932, l’administration des Postes a cru bon de nous supprimer ce droit et de nous interdire l’envoi comme périodique.

Silence complice

Février 1933

II faut que nous appelions encore une fois l’attention de nos lecteurs sur le rôle joué en France par la grande presse pédagogique.
L'Ecole Emancipée et l’Ecole Libératrice, placées l’une et l’autre sous le contrôle des organisations syndicales, ont parlé de notre affaire.
Mais le Manuel Général, l’Ecole et la vie, le Journal des Instituteurs, la Collaboration Pédagogique, le Journal Scolaire ont fait le silence le plus complet.

Pour une éducation nouvelle prolétarienne

Février 1933

Dans la bonté de votre cœur, vous croyiez, généreux pédagogues, qu'il suffisait de vouloir intensément le bien des enfants, la santé morale et une virile préparation à la vie pour les jeunes générations : que, connaissant vos buts profondément humanitaires, les gouvernants ne pouvaient que vous accueillir avec sympathie, la grande presse louanger vos efforts ; et que, par le concours désintéressé de tous ceux que passionne la chose publique, l’Education allait enfin, sans à-c