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Recherche archives : L'Éducateur, Célestin Freinet, 1951

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La guerre des Anciens et des Modernes n’aura pas lieu

Juillet 1951

La guerre des Anciens et des Modernes bat aujourd’hui son plein ; ce qui signifie que les Anciens — ceux que nous préférons appeler les traditionnalistes — commencent à sentir le poids pédagogique de nos techniques et la menace qu’elles font déjà peser sur les positions qu’ils occupent, et dont ils tirent profit.

Textes libres : correction et orthographe

Dans :  Français › Techniques pédagogiques › 
Juillet 1951

 

Et demain ?

Dans :  Mouvements › mouvement Freinet › 
Juillet 1951

L’année tire encore une fois à sa fin. Le prochain n° sera le dernier et vous parviendra au moment où vous vous préparerez à partir en vacances.

Essayons donc de faire le point de nos efforts afin d’établir, du même coup, le plan de travail de l’année à venir.

DITS DE MATHIEU - les aigles ne montent pas par l’escalier

Juillet 1951

Le pédagogue avait minutieusement préparé ses méthodes ; il avait établi scientifiquement, disait-il, l’escalier qui doit permettre d’accéder aux divers étages de la connaissance ; il avait mesuré expérimentalement la hauteur des marches pour l’adapter aux possibilités normales des jambes enfantines ; il avait ménagé çà et là un palier commode pour reprendre le souffle, et la rampe bienveillante soutenait les débutants.

Essai de psychologie sensible

Dans :  Formation et recherche › connaissance de l'enfant › 
Juin 1951

 

Mieux s’informer, pour mieux défendre l’Ecole

Juin 1951

Dans un récent article de l'Ecole et laVie, un certain Grincheux fait remarquer fort justement « qu’il n’existe aucun ouvrage complet sur la pédagogie américaine (ou russe, ou anglaise, ou allemande) qui permette à un instituteur de chez nous de se faire une idée précise d’une classe primaire à l’étranger dans son fonctionnement quotidien...

DITS DE MATHIEU - le poids de la servitude

Dans :  Formation et recherche › 
Juin 1951

— On dit que nos brebis sont bêtes. C'est nous qui les rendons bêtes en les parquant dans des étables étroites, sans air et sans lumière, où elles n’ont d’autres ressources que de piétiner en bêlant, jusqu’à ce qu’apparaisse le berger ou le boucher.