Il ne s'agit pas encore des enfants, mais des vaches.
On s'est rendu compte expérimentalement que ces bêtes mangent moins bien lorsqu’elles sont enfermées et attachées que lorsqu'elles sont libres, et, chose curieuse, que ce qu'elles mangent leur profite davantage, qu'elles donnent un meilleur lait et plus abondant, comme si la liberté valait à la nourriture une vertu spéciale étrangement bénéfique.