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Recherche archives : un niveau scolaire, Pour les enseignants, Le Nouvel Éducateur, 1997

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Du geste à l'écriture au cycle I

Dans :  un niveau scolaire › Français › Écriture-lecture › Français › Techniques pédagogiques › organisation de la classe › atelier › 
Mars 1997

Écrire, c’est à la fois chercher à communiquer du sens et respecter les critères de lisibilité.
Comment concilier ces deux volets à l’école maternelle ?
Comment construire sa virtuosité tout en privilégiant la recherche du sens ?
Doit-on, peut-on conduire parallèlement les deux apprentissages ou doivent-ils, peuvent-ils être intimement liés ?
Autrement dit, doit-on réserver la recherche du sens à certaines séquences et l’apprentissage technique à d’autres ?
Laisser au maître (ou à la machine, imprimerie, ordinateur...) la responsabilité de la lisibilité pour s’intéresser en priorité au contenu et s’entraîner, à d’autres moments, au seul geste en « faisant du graphisme », en « apprenant les lettres » ?
Chaque enseignant de cycle I a sa réponse, provisoire, choisie en fonction de son expérience, des modes, des objectifs qu’il désire privilégier.
Nous ne prétendrons pas, dans ce dossier, apporter UNE réponse, encore moins LA réponse. Dans une première partie, nous apporterons des éléments de réflexion sur les termes de traces, tracés, dessin, pictogrammes, graphisme (dans les domaines des arts plastiques et de l’apprentissage du code écrit), sur les interactions entre ces différentes notions, pour aboutir à quelques « règles générales » importantes.
Puis nous proposerons deux témoignages complémentaires sur la mise en place d’un « atelier d’écriture » : même appellation pour deux activités aux objectifs prioritairement différents.
Le premier, dans une classe d’enfants de 2 à 4 ans, a pour objectif principal de faire comprendre aux enfants qu’écrire, c’est vouloir communiquer du sens. Le second, dans une classe d’enfants de 5 à 6 ans, insiste sur la façon dont les petits construisent la lisibilité de leur message écrit.

Mieux vivre au collège

Dans :  un niveau scolaire › second degré › un niveau scolaire › 
Février 1997

Il y a tant de désillusions chez les enseignants de collège que toutes les brêches proposées pour humaniser les relations, tenter de mieux vivre avec les adolescents, les aider à exister, à se comprendre mutuellement, à se construire, doivent être soutenues, valorisées.

Rien n'est jamais trop modeste à faire partager si, en introduisant telle ou telle technique d'expression, d'échange, tels ou tels outils de recherches et de création, disciplinaires ou interdisciplinaires, de gestion plus opérante du travail, d'une partie des apprentissages, on change l'atmosphère quotidienne d'une classe, on propose quelques repères clairs et sécurisants, sur les plans intellectuel et affectif, indissociables...
Que l'on ose aussi dire sa joie devant la réussite d'un petit projet négocié et abouti ; que l'on ose, dans cette vague de morosité et de renoncement, exprimer le désir de beaucoup d'adolescents encore de se passionner pour un travail qui a du sens, sur lequel ils ont des pouvoirs, qui, sans négliger l'appropriation de savoirs cognitifs, permettent d'acquérir des compétences comportementales positives et valorisantes.
Ne serait - il pas temps, à nouveau, de mettre en commun quelques repères pédagogiques essentiels et éprouvés pour éclairer le quotidien face à l'inflation de discours, de modes successives et éphémères qui déroutent, désarçonnent et préparent trop de renoncements ?
Où que l'on se trouve, il y a un combat coopératif à mener sur le plan de l'action et de la réflexion pour que les enfants et les adolescents gardent ou retrouvent l'élan et la confiance en l'avenir. La parole et la théorie ne suffisent pas à changer le quotidien, il faut des pratiques et des outils porteurs de cohérence, induisant responsabilisation et autonomie des jeunes.
                                                                                                              Janou Lèmery
 

Le conseil, clé de voûte de ma section de moyen-grands

Dans :  un niveau scolaire › Principes pédagogiques › coopération › 
Décembre 1997

Définir et ajuster l’organisation de la classe, établir les règles de vie commune, réguler les conflits, favoriser l’entraide et l’accès à l’autonomie, chez Muriel Quoniam, le conseil est un moment privilégié de la vie de la classe. Qui plus est, la mise en place d’un conseil, avec tous ces objectifs appporte à l’enseignant une possibilité de décentration particulièrement bénéfique: «La mise en place d’un conseil dans ma classe maternelle m’a obligée à renoncer à une certaine idée du pouvoir.» M. Q

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Une technique de communication : les trois minutes

Dans :  un niveau scolaire › second degré › un niveau scolaire › Principes pédagogiques › Techniques pédagogiques › 
Décembre 1997

La technique des trois minutes est une technique qui a vu le jour dans la commission second degré autour des années 80. Vraisemblablement introduite par R. Favry au cours d’un stage. Cette technique a trouvé sa place dans les classes de collège et de lycée.

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Enseigner et vivre autrement au collège

Dans :  un niveau scolaire › second degré › un niveau scolaire › 
Novembre 1997