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Le passage sans douceur de la Pédagogie Freinet à temps plein à la pédagogie Freinet une heure par semaine

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Septembre 1977

Un C.E.S. 400. Des enfants qui jouent au ping-pong.

Deux garçons de 3e - Alain et Manuel - qui viennent, pendant une heure d'étude, discuter avec nous, sans le professeur - Michel RIBIS -, de leur travail: une éolienne et un capteur d'énergie solaire. Ils appartiennent à une classe mixte, mais seuls les garçons sont concernés par les cours de T.M., une heure par semaine.

Nous - Liliane et Mauricette - en visite au C.E.S. Mistral, un vendredi matin de 10 à 11 heures.

Cette intervention est complétée par une discussion avec Michel.

Tel est le cadre du reportage, de notre vue, nécessairement parcellaire.

 

Quels savoirs enseigner dans les lycées ?

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Juin 1998

J’ai souhaité répondre au questionnaire de la consultation nationale sur les lycées en tant qu’enseignant de français bénéficiant d’une expérience de sept années en STS audio-visuel. Notre BTS est tel que nous l’avons collectivement défini nous-mêmes nationalement en 92. Notre fonctionnement devrait nous permettre de trouver quelques idées facilement transposables.
Dans mon lycée la coordonnatrice de français a isolé mes réponses de la synthèse qu’elle a faite à l’issue d’une réunion à laquelle je n’ai pas été convié.
Si je trouve intéressante l’idée de ce questionnaire, je n’en attends pas grand-chose de positif, tant sont dominants les corporatismes disciplinaires défendus par les syndicats dans les lycées, et par nos inspecteurs, Allègrement chargés, par le ministre, du dépouillement.
Que ce soit l’occasion d’une réflexion des pédagogues, au moins à l’intérieur des divers mouvements pédagogiques, et en particulier au sein du Mouvement Freinet.
La violence remontante est le signe d’un malaise. Notre lycée ne fonctionne plus. Il ne suffit pas de se contenter de réclamer des postes de profs, de sous-profs ou de flics, et de pleurer tout le jour sur notre condition de personnels mal aimés, et lâchés, par un ministre ingrat, au milieu des fauves irrespectueux, mal éduqués par leurs parents.

Auteur :

S'exprimer à l'écrit en allemand

Avril 1998

Contrairement à ce qu’on a pu croire dans les années 70, il ne suffit pas de dire aux élèves « Exprimez-vous ! » pour qu’ils s’expriment. L’idée d’écrire en toute liberté est parfois terriblement angoissante.
Danièle Arvati développe l’idée qu’en partant de contraintes strictes, les adolescents, ne craignant pas de trop s’engager, osent écrire. Ils découvrent dans le plaisir la possibilité d’une expression véritable pour enfin se l’approprier. Autre élément important : la langue étrangère sert de paravent. L’allemand n’étant pas leur langue maternelle, ils ont moins l’impression de se mettre à nu, même s’ils écrivent des choses très intimes.

Autour du livre au collège

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Février 1998

Au collège, on « travaille » sur la littérature de jeunesse, on aborde aussi des ouvrages vers lesquels les élèves ne se ruent pas spontanément !
Le cadre institutionnel du collège impose un découpage disciplinaire peu compatible souvent avec la globalité nécessaire des apprentissages et ceci beaucoup plus encore qu’en école élémentaire.
Michèle Béarez et Dominique Ghier nous présentent quelques techniques de présentation de livres, au sein d’activités qui maintiennent le sens et offrent un avenir communicatif à la restitution de lecture ; une manière de se libérer de la « sacro-sainte fiche de lecture » !

La présentation de livres en maternelle

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Janvier 1998

Organisation de classe

La présentation de livres en maternelle
 
 
Comment faciliter la rencontre de l’enfant et du livre ? Comment susciter l’échange et le dialogue autour du livre, et ceci dès la maternelle ? Comment faire partager ce plaisir de lire, d’écouter lire et de présenter ?
Martine Castier nous présente l’organisation actuelle de sa classe de ce moment capital de la présentation de livres.
« A l’école maternelle, les enfants empruntent des livres. Au départ, ils empruntaient tous un livre le même jour, et ce jour-là, avant de changer de livre, je demandais qui voulait le raconter aux autres... mais le temps manquait... et chaque semaine, les mêmes enfants voulaient lire, alors que d’autres n’avaient peut-être pas même ouvert leur livre à la maison !
Alors, ensemble, nous avons réfléchi à une nouvelle organisation... »

Du geste à l'écriture au cycle I

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Mars 1997

Écrire, c’est à la fois chercher à communiquer du sens et respecter les critères de lisibilité.
Comment concilier ces deux volets à l’école maternelle ?
Comment construire sa virtuosité tout en privilégiant la recherche du sens ?
Doit-on, peut-on conduire parallèlement les deux apprentissages ou doivent-ils, peuvent-ils être intimement liés ?
Autrement dit, doit-on réserver la recherche du sens à certaines séquences et l’apprentissage technique à d’autres ?
Laisser au maître (ou à la machine, imprimerie, ordinateur...) la responsabilité de la lisibilité pour s’intéresser en priorité au contenu et s’entraîner, à d’autres moments, au seul geste en « faisant du graphisme », en « apprenant les lettres » ?
Chaque enseignant de cycle I a sa réponse, provisoire, choisie en fonction de son expérience, des modes, des objectifs qu’il désire privilégier.
Nous ne prétendrons pas, dans ce dossier, apporter UNE réponse, encore moins LA réponse. Dans une première partie, nous apporterons des éléments de réflexion sur les termes de traces, tracés, dessin, pictogrammes, graphisme (dans les domaines des arts plastiques et de l’apprentissage du code écrit), sur les interactions entre ces différentes notions, pour aboutir à quelques « règles générales » importantes.
Puis nous proposerons deux témoignages complémentaires sur la mise en place d’un « atelier d’écriture » : même appellation pour deux activités aux objectifs prioritairement différents.
Le premier, dans une classe d’enfants de 2 à 4 ans, a pour objectif principal de faire comprendre aux enfants qu’écrire, c’est vouloir communiquer du sens. Le second, dans une classe d’enfants de 5 à 6 ans, insiste sur la façon dont les petits construisent la lisibilité de leur message écrit.