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Les Pionniers, journal scolaire de l'école Freinet de Vence

Dans :  Mouvements › mouvement Freinet › 
Juin 2003

 Journal scolaire, témoin de la vie actuelle à l'école Freinet de Vence 

Sauvegarder et faire s'épanouir, dans la communauté éducative, les potentialités de chacun. A l'école Freinet de Vence, dans le temps quotidien désormais imparti, la priorité est donnée aux apprentissages de démarches fondamentales dans l'appropriation du savoir : expression, création recherche, vie coopérative, autonomie... que les enfants ne retrouveront pas ailleurs, sur d'autres apprentissages plus technologiques, toujours possibles.

 

Ouvrir des pistes

Dans :  Principes pédagogiques › Mouvements › mouvement Freinet › 
Septembre 1995

On a beaucoup légiféré depuis deux ou trois décennies de manière scienti­fique et souvent à priori sur les pratiques pédagogiques. Pour faire face au désarroi de très nombreux en­seignants, enserrés dans des réformes successives parcel­laires induisant des "comment" normatifs mais jamais des "pourquoi", on a prescrit des so­lutions miracles, une ins­trumentation sophistiquée ou gadget, dénaturant souvent ainsi les apports des re­cherches en didactique, en psycholo­gie sociale, en psychologie cogni­tive.

Ces apports féconds sont malheureuse­ment trop souvent com­partimentés, donc réducteurs dans leur application isolée et systématique, enfermés dans leur territoire respectif, décontex­tualisés d'un quotidien infiniment complexe, mou­vant, habité d'incertitudes, de risques, de ques­tionnements tous azimuts, d'obstacles nécessitant donc qu'on appréhende dans sa complexité, avec des regards différents, complémen­taires, regards à réconcilier pour trouver du sens aux in­terpellations qu'il nous en­voie.

La pédagogie Freinet, est-ce une méthode ou une organisation systémique ?

Dans :  Principes pédagogiques › Mouvements › mouvement Freinet › 
Septembre 1996

« C’est la forme même – sociale et humaine – de l’École qu’il nous faut reconsidérer.
L’école traditionnelle emploie des techniques de rédaction, de calcul, de dessin ou de musique qui apparaissent comme des mécanismes minutieusement montés pour tourner en milieu scolaire, mais qui sont sans liaison avec le comportement des individus et les exigences sociales en milieu non scolaire. Il en résulte une fausse culture qui n’est jamais intégrée à la vie des hommes et qui constitue de ce fait une erreur sociale et une fausse manoeuvre humaine.
C’est cette intégration des techniques à la vie, la suppression de ce hiatus entre l’école et le milieu, que nous prétendons réaliser. »

Avec Célestin et Élise Freinet, et après eux, des milliers de classes de tous niveaux, de milieux très divers, égrenées un peu partout dans le
monde, comme un « véritable laboratoire vivant », ainsi que Freinet aimait à le répéter, ont confirmé aux praticiens « qu’il ne peut y avoir
de clivage dans le processus d’acquisition entre les apprentissages que l’enfant fait (ou ferait) dans son milieu naturel et ceux qu’il fait dans le milieu scolaire. » C’est en ce sens que nous pouvons définir une manière naturelle d’apprendre.