Dans la bonté de votre cœur, vous croyiez, généreux pédagogues, qu'il suffisait de vouloir intensément le bien des enfants, la santé morale et une virile préparation à la vie pour les jeunes générations : que, connaissant vos buts profondément humanitaires, les gouvernants ne pouvaient que vous accueillir avec sympathie, la grande presse louanger vos efforts ; et que, par le concours désintéressé de tous ceux que passionne la chose publique, l’Education allait enfin, sans à-c