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L'équipe éducative: questions françaises, réponses américaines

Dans :  Organisation de l'école › 
Février 1973

Au lendemain de la première guerre mondiale, la pédagogie américaine s'illustre de trois noms: John Dewey demande que l'école soit une vie et pas uniquement une préparation à celle-ci, Miss Parkhurst propose des contrats d'études entre élèves et maîtres à Dalton dans le Massachusetts , et Washburne, dans la banlieue de Chicago, à Winnetka, bouleverse la vie scolaire en introduisant les fichiers auto-correctifs, premiers outils de l'auto-éducation.

C'est par la Belgique que transiteront ces techniques révolutionnaires et c'est vraisemblablement J. Mawet qui les fera connaître à Freinet. Le plan Dalton pour l'individualisation de l'enseignement est publié à Bruxelles en 1930, le système pédagogique de Winnetka en 1934. Ils répondent à quelques-unes des questions que Freinet se posait en essayant de trouver un équilibre entre le travail indépendant et la nécessaire vie collective des élèves.

Et aujourd'hui? Comment ne pas penser que Freinet puiserait dans la centaine d'ouvrages américains traitant de la créativité et du team-teaching (équipe d'enseignants) pour définir, dans un contexte français le fonctionnement d'une école de ville ou d'un CES. 

L'Equipe éducative: nécessité ou complication?

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Décembre 1972

 L'Administration et les syndicats d'enseignants sont au moins d'accord sur un point, l'instituteur doit être un polyvalent. Pour les 18000 classes uniques qui subsistent il serait difficile qu'il en fût autrement. Mais en ville, dans les groupes scolaires, n'y a-t-il que des avantages à ne confier les élèves durant une année qu'à un seul maître?

Les adversaires de la polyvalence font valoir que si ce maître est excellent, son influence pendant une année sera très positive mais s'il est débutant inexpérimenté ou défaillant, les élèves seront condamnés pendant un an à piétiner. Ne vaut-il pas mieux partager les risques, en toute justice démocratique, et donner aux maîtres accès à des classes différentes et aux élèves une chance d'être plus à l'aise chez un maître que chez un autre sans attendre l'année suivante.

Un complexe scolaire intégré, à Sutton (Angleterre)

Octobre 1972

D'après un article paru dans la revue syndicale "The Teacher" du 3-3-72 (Traduction de M. Bertrand)
 

Qu'est-ce qu'une équipe pédagogique?

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Février 1972

La possibilité de travailler en équipe dans l'enseignement public est contrariée par de multiples dispositions légales qui sous prétexte de préserver
les droits des individus lors des mutations, paralysent ces mêmes individus dans l'exercice de leur métier. Les élèves s'en tirent tant bien que mal,
mais les enfants en font les frais. Je m'explique: on peut toujours distribuer à un élève une ration de savoir selon horaires, programmes fixés. On ne peut pas assurer à l'enfant un climat éducatif si la mésentente entre les maîtres règne dans l'établissement. La forme la plus générale de cette mésentente est l'indifférence aux collègues et aux enfants en tant qu'enfants. Or ceux-ci ont autant de problèmes psychologiques que de difficultés d'acquérir un savoir, les premiers conditionnant les secondes.

Unités coopératives d'enseignement

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Janvier 1978

Expérience d'application de la pédagogie Freinet en équipe : justifications théoriques et modalités pratiques.