Ma chère collègue revient à ta charge:
« J'ai lu ta prose exaltante, mais j'ai le regret de te dire que je n'en suis pas plus avancée pour autant. Je reste seule devant mon problème, Grosse-Jeanne comme devant. En effet, je n'arrive pas à comprendre pourquoi, en dessin, j'obtiens parfaitement cette liberté si chaudement recommandée par Elise Freinet et pas du tout en français.