En ce début d’année, j’ai ouvert avec une particulière curiosité les premiers n° de nos grands journaux pédagogiques. Je m’attendais candidement — la candeur est une des maladies dont on se défait le plus difficilement — à y trouver une compréhension quelque peu modifiée de l’aide qu’ils prétendent apporter aux éducateurs. Je me faisais des illusions.