Les lois qui permettront un jour une meilleure connaissance de l’enfant ne sont point, comme on nous l’a fait croire trop longtemps des règles forgées tout spécialement pour l’être humain et dont on ne parvient pas à trouver les causes et les fondements.
Une Directrice d’Ecole Normale m’adresse, avec la coupure du P. S. de. notre avant-dernier article, une courte note de reproches, sèche et froide comme un pensum :