« Quand, après avoir souri dédaigneusement de vos créations, de vos inventions, de vos tentatives, de vos échecs ou de vos succès, les baillis, les gouverneurs, les chefs, les Grands et les Pontifes s’aperçoivent que vos petites idées de manants ou d'artisans ont fait leur chemin malgré leurs railleries ou leur superbe indifférence, alors ils s'en accaparent...
« J'ai lu ta prose exaltante, mais j'ai le regret de te dire que je n'en suis pas plus avancée pour autant. Je reste seule devant mon problème, Grosse-Jeanne comme devant. En effet, je n'arrive pas à comprendre pourquoi, en dessin, j'obtiens parfaitement cette liberté si chaudement recommandée par Elise Freinet et pas du tout en français.