Comme toutes les années, nous arrivons aux derniers numéros de l’Educateur avec le sentiment de laisser les chantiers en pleine activité, sans qu'aucun d'eux soit terminé, ce qui est parfois un peu désespérant. Mais non ! c'est aussi parce que nous avons le sentiment que tant de choses restent à faire dans tant de domaines que nous reparlons toujours avec dynamisme et témérité.
Au moment où le Ministère publie des Instructions Impératives pour l'étude systématique et par coeur des règles de grammaire, nous poursuivons ici notre opposition en reprenant notre mot d'ordre d'il y a vingt-cinq ans ; « Si la grammaire était inutile », qui a toujours paru aux professionnels comme une outrance et un blasphème.