Je vous propose ci-joint deux articles écrits dans le cadre du groupe Méthode Naturelle de mathématiques qui se nourrit des apports du Secteur mathématiques et du Laboratoire de Recherche Coopérative de l'ICEM.
Mon expérience actuelle dans une classe de CE2-CM1 cherche à articuler dispositifs de créations et recherches mathématiques.
Le sujet des langues vivantes (n’entendez pas seulement vivantes, mais étrangères) est (re)naissant à l’ICEM. Dans leur classe, certains expérimentent des techniques et vivent des événements langagiers qui pourraient être le début d’une Méthode naturelle des langues vivantes (MNLV).
L’épisode qui suit raconte une histoire simple, qui aurait pu arriver n’importe où, n’importe quand. Ce n’est ni une recette, ni un modèle, ni un dispositif programmé. Ce n’est qu’un exemple vécu, raconté pour inviter le lecteur à improviser dans sa classe des histoires comparables.
Après les débuts fructueux en méthode naturelle d’anglais publiés dans le précédent numéro de Coopération Pédagogique, nous avons reçu des commentaires de Paul Le Bohec qui avait lu notre texte. Ces échos nous ont donné envie de revoir le dispositif.
La Méthode Naturelle est au fondement de la Pédagogie Freinet. Inventée par Freinet, expérimentée par les compagnons, elle a progressivement été négligée au sein du mouvement de l’École Moderne. Nous croyons à l’intérêt de lui rendre sa place centrale et d’en multiplier les expérimentations coopératives. À la suite de Paul Le Bohec, nous avons choisi de généraliser la MN dans ma classe rurale de cycle 3.