Après la halte de Noël et du Jour de l’An, nous entrons dans le trimestre le plus actif, pédagogiquement parlant. Le Congrès en sera, comme chaque année, le couronnement.
Qu’on le veuille ou non l’affaire Freinet est aujourd’hui virtuellement terminée puisque nous n’avons pu obtenir ni mon maintien à St-Paul, ni la moindre sanction contre les coupables des événements dont nous avons été victimes.
Nous n’avons pas la cote, ni auprès de l’administration (ce qui ne saurait trop étonner, bien qu'il y ait aujourd'hui d'encourageantes exceptions), ni auprès des partis politiques qui nous trouvent volontiers ou anarchistes ou indifférents, en tous cas peu enclins à suivre passivement des mots d'ordre.