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Le blog de Catherine Chabrun

logo blog Un pays des droits de l’homme et de l’enfant, ça existe ?

 Une idée qui fait son chemin : les « migrants économiques », les « demandeurs d’asile » devraient être traités différemment. Il y aurait des bons et des mauvais, ceux qui mériteraient notre pitié et ceux qu’on renverrait « chez eux » ou n’importe où pourvu que ce ne soit pas « chez nous ». Et encore dans la catégorie « demandeurs d’asile » il y aurait les vrais persécutés et ceux qui fuiraient le combat…

logo blog Camarades jeunes instituteurs, 15 mars 1938

Une participation et une mobilisation des jeunes qui réjouit Freinet et le mouvement.

logo blog Nous bâtissons la Pédagogie Populaire, 15 mars 1938

Éducation nouvelle bourgeoise ou éducation nouvelle populaire ?

Freinet répond aux questionnements de l’institution. L’enfant ferait-il que ce qui lui plairait dans les classes Freinet ? L’enfant devrait-il souffrir pour apprendre ?
Enthousiasme, élan, joie, vie… sont des moteurs essentiels que ne comprend pas la scolastique. Pourtant, la compréhension de ce que l’enfant a à faire, l’organisation et le sens des activités qu’il donne au sein d’une communauté coopérative ont montré leur réussite plutôt que l’autoritarisme, l’individualisme, l’obéissance passive et l’obligation.
Les classes Freinet sont modernes par leurs techniques en cohérence avec celles qu’utilise la société.
Convaincre par des discours est insuffisant, l’expérience et l’expérimentation sont indispensables. Freinet insiste pour que les techniques de cette pédagogie populaire ne soient pas figées dans une théorie, car elles ne sont pas établies définitivement. Elles devront évoluer au fil des expériences et des réflexions vers des pratiques plus humaines et plus efficientes, un vaste chantier ! 
L’Imprimerie à l’École est un mouvement entraîné vers l’avenir par la vie.

logo blog La cause est gagnée, 1er mars 1938

Un « rapport d’activité » de l’Imprimerie à l’École. Un bilan qui projette l’avenir et affirme que la pédagogie Freinet n’est ni une méthode finie ni un dogme, mais bien un mouvement. Un projet ambitieux toujours en construction qui doit réunir tous les éducateurs soucieux d’efficience pédagogique certes, mais aussi d’éducation émancipatrice.
Pour Freinet, tout éducateur devra mener de front l’action pédagogique libératrice et l’action sociale et politique.
La menace du fascisme plane sur l’avenir…   

logo blog Encore un effort de compréhension, 15 février 1938

L’éducation nouvelle avec ses activités « attrayantes » est insuffisante, il faut redonner du sens au travail avec une nouvelle ressource éducative : la communauté. A l’inverse d’une éducation individualiste et autoritaire, se sentir membre d’un courant social permet de se dépasser…

Freinet récuse « L’enseignement ennuyeux » comme moyen – préconisé dans le dernier Manuel Général – pour motiver les enfants : après l’ennui, tout semblerait attrayant ! 
Ne pas habituer les enfants à la misère, à l’injustice, plutôt leur apporter bonheur, justice et enthousiasme, ils seront ainsi mieux formés pour aller de l’avant, être téméraires et défendre leurs droits. Préférer les entrainer vers la vie dont le mouvement adopte et adapte les buts et les techniques. 

logo blog Rentrée de la pédagogie ?

Rentrée 2015,  des nouveaux programmes entrent en application : « Éducation morale et civique » et ceux de la Maternelle. D’autres sont prévus pour septembre 2016 : la réforme du collège, déjà publiée et l’évaluation en cours d’élaboration.
On retrouve dans toutes ces « nouveautés », des pratiques et des principes pédagogiques mis en place dans des classes depuis de nombreuses années… voire du temps de l’éducation nouvelle du siècle précédent.

logo blog Le Groupe Français d’Éducation Nouvelle et nous, 1er janvier 1938

 En réponse à la résolution prise lors d’une réunion nationale du G.F.E.N., Freinet renouvelle ses préoccupations sur le devenir du travail avec le Groupe s’il ne devient pas plus actif et représentatif dans les sections départementales et au premier degré.  

logo blog A propos des coopératives scolaires, 1er janvier 1938

 

Une mise au point de Freinet, après la réception d’un courrier de Barthélémy Profit 

 

logo blog La réforme du C.E.P.E., 1er janvier 1938

Freinet rappelle les propositions du mouvement pour un accès au second degré pour tous ceux qui ont suivi l’enseignement du premier degré. Le second degré deviendrait ainsi la suite naturelle du premier degré. 

Et améliorer cet examen pour éviter le bachotage et le bourrage de crâne.  

logo blog Pour nos enfants : la semaine de trente heures ?, 1er janvier 1938

Un plaidoyer de Freinet pour le respect du temps de l’enfant où la santé, le repos et les loisirs, droits essentiels sont à prendre en compte. Comme l’adulte avec les 40 heures et les congés payés, l’enfant doit également bénéficier d’un temps raisonnable de travail et suffisamment de repos et de loisirs.  

La suppression des leçons et devoirs en dehors du temps scolaire, ce travail forcé clandestin,  devient donc indispensable. Ce qui n’empêche pas le travail personnel libre de l’enfant passionné par un travail au-delà des trente heures d’enseignement. Tout est affaire de pédagogie !   
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