Mets tes lunettes et pars en voyage…au VOYAGE à NANTES…
Quelles lunettes ? Des lunettes d'EAU ? Des lunettes d'ARCHITECTURE ? Des allumettes de MACHINE ? Des lunettes de COULEURS ? Des lunettes de VOYAGES ?
Quoi ? ce que tu veux…chacun son style…chacun son point de vue, sa manière ou sa contrainte de voir…
Attentivement, curieusement, réceptif à l’inattendu…au rythme de ses pas, des rencontres, de son propre chant intérieur, des surprises du moment…
Nous voilà, aventuriers, lâchés au cœur de Nantes, en voyage artistique et créatif, tous sens ouverts.
Belle façon de commencer ce temps de stage où l’expérience est première, primordiale, naissance, liberté, façon de communiquer.

        Des mesures- Démesure-Géants et petits-miniatures.
        Vert-Vertige-un verre ça va- Vert tige-
        Equilibre-déséquilibre-Des équilibres ?
        Fil rouge-Ligne verte-Tissage-
        Chemin-parcours-voyage
        Moulin-Rotation-Tourner-Systèmes-
        Pontifiant-Motifiant

Michel, le mouton qui n’avait pas de chance (album de Sylvain Victor)…
de passage au milieu de tapis de contes,
de kamishibaïs et de livres créatifs à trois volets,
Michel bêêêle sa différence et son amour des framboises…ceci peut-il le mener à quelque chose ??

De fil en aiguille, il peut apprendre, comme nous, au travers des expériences artistiques partagées en soirée par des collègues engagés dans l’aventure plastique : tissages, peinture à la ficelle, bobines,  tapisseries,  broderie…avec l’objectif PLAISIR avant tout !

Peintures, encres, dessins, collages, expériences d’enfants… carnets de bords…

Peinture collective d’un soir proposée par Nadia,
chacun un pot de peinture à la main, couleurs variées,
la beauté d’un jeu simple et riant, une métaphore de la richesse de la coopération,
sous nos yeux les couleurs prennent vie, se côtoient, se révèlent, se réveillent grâce à la touche voisine,
se respectent dans un jeu de mouvement, une danse des corps,
des apports de chacun dans l’improvisation non préméditée de l’instant.

Caverne d’Ali Baba au premier étage : l’atelier marionnettes d Eliane…………. ouahhhh

T’y trouves de tout j’te dis…
De la marionnette géante endormie sur le bord du ruisseau, aux miniatures pinces à linge, machine à coudre et couture à la main, de quoi farfouiller et bricoler, trop trop trop…
marionnettes qui se cachent dans un cône, poupées tracas comme en Bolivie, marionnettes qui font corps avec ton corps…

Vivre  l’art de tout son corps,
danser, danses bretonnes, accordéons et flûte traversière, danser avec nos élèves et proposer ici un projet collectif au groupe…
Appel sonore, expérience de danse-tissage de toile, des mouvements osés seuls ou à plusieurs,
De l’improvisation à la machine collective,
chacun sa place, chacun son mouvement, œuvre collective jouissive à imaginer puis à vivre tous ensemble.

 J'y connais rien en arts plastiques, mais j'en fais ! 

 tissage de moments vécus 

Mon fil rouge est depuis l'été dans sa cagette "Fruits de FRANCE" : cagette en carton, au format pratique pour être transporté dans une voiture chargée pour les vacances en famille et ensuite rangée sur une étagère.

En quittant le stage, je me suis dit que je transformerai l'étendage et son contenu en livre.... et puis nous voilà en octobre et il est resté dans la cagette en carton !

Prospectus, tissus, papiers, fils, une main en terre égarée, brouillons griffonnés, morceaux de briques de lait, impressions, collages, et la carte-tarte de Lucie aux petits lutins, écrite avant de quitter le stage et de se séparer. Je cherche mes notes au milieu de tout cela... et je comprends le cahier de bord des collègues !

C'est mon premier stage Art et Créations, c'est aussi mon premier stage en auto-gestion. J'ai vraiment apprécié le partage et l'investissement de chacun et chacune dans la préparation des repas. Ce fut un régal, toute la semaine, nous avons découvert des spécialités culinaires et des dénominations chantantes selon le coin d'où l'on venait.

Le lieu du stage est aussi surprenant, inspirant et ressourçant : au détour de la ville, d'une usine, le moulin, les bords de Sèvre, la verdure, les mousses, les fougères, les roches, de grands arbres, des libellules bleues, des maisons d'inspiration italiennes.

Et nous partons pour Nantes. Incroyable flânerie, suivre la ligne verte, ou pas, pour découvrir la ville, son architecture, son engagement, le changement qui est en marche.

Nantes
ville moderne,
ville énergique
et vivante :
se laisser porter, s'imprégner.

Des envies de gribouiller apparaissent, amusement, prise de conscience...
quelle richesse ! Nantes me fait rêver !

Et ce fil rouge à trouver, à attraper, par quel bout ? Comment démarrer ? Qu'est ce que je vais y mettre ?

Les propositions d'ateliers viennent nourrir, donner un éclairage nouveau, participer à plusieurs à une production pour se lancer et trouver un bout de la bobine du fil rouge !

L3V et Haïkus aux côtés de Simone : je trouve des mots, j'organise des impressions, des images, et je mêle productions plastiques et écriture. Je prends mon temps pour frotter ces belles feuilles de fougères, coller le papier de soie, et je me fais plaisir à produire ce dessin-collage ; je vis pleinement ce moment.
Puis il faut écrire, j'hésite, je me lance et ça vient. Le regard bienveillant et encourageant de Simone aide à faire.
Première production collective, un kamishibaï A3 : propositions plastiques, livres de chacune et écriture en Haïkus.

Je vais aussi à l'atelier marionnette pour rencontrer Eliane et farfouiller dans la montagne de tissus, rubans, boutons, paillettes... ça brille, c'est doux, c'est plein de couleurs, ça fait envie tous ces tissus ! Un vrai trésor ! Qu'est ce que je vais faire de cette marionnette pour mon fil rouge ??... et ce sera Nadia qui s'en servira pour présenter le sien. Hélène récupère une série de pinces à linge bonhommes fabriqués sur son modèle, pour sa ballade nocturne.

Jacqueline nous a présenté des livres en tissu et des tapis de lecture : émerveillement ! Couleurs vives, feutrine, manipulation de formes pour créer des personnages, c'était magique! Je pense que des enfants ont la chance d'utiliser ces outils. Et ça donne envie de s'y mettre à sa mesure.

Je propose un atelier gravure sur brique de lait. La technique d'impression "nomade" n'est pas au point, nous tâtonnons ensemble, Jacqueline n'est pas loin pour aider, Agnès non plus ! Les premières impressions sur papier (non mouillé) ne fonctionnent pas, ni avec le "gaufrier" Freinet, ni avec la machine à pâte. Les essais suivants sont réalisés sur tissus avec la machine à pâte. Et là les résultats sont satisfaisants. On se régale, un grand merci à tous.

Ensuite, encore d'autres visites, La Garenne Lemot, La cité radieuse de Le Corbusier... et ce village en face de Nantes qui dit "NON !" à un projet d'usine : impression du slogan et son dessin d'usine sur tissu !

J'ai envie de poursuivre les impressions sur tissus.

Ne sachant comment présenter mes collages, coutures, textes, je pars sur un étendage, type La grande lessive.

J'installe tout avec les pinces à linge, puis finalement je ne laisse que les productions plastiques. Je distribue les textes aux copains : à chacun de trouver la place adéquate, ainsi tous participent à l'étendage.

L'imprimerie Freinet me captive : elle n'a pas servi depuis longtemps, je range les caractères, je les frotte. Je n'ai pas de composteurs, mais je bidouille, pour imprimer mes haïkus sur tissus avec la presse d'écolier. Ophélie avait apporté des caractères d'imprimerie tampon, je les utilise aussi.

Et puis, cette envie de couture à la façon du tapis lecture "TCHOUM" présenté par Jacqueline réapparait : toile de jute, laine, feutrine, paillettes, ficelle, lignes vertes et fils rouges brodés tard le soir !

J'y connais rien en arts plastiques mais j'en fais ! 

Ici, je suis un peu éloignée du parcours artistique d'un enfant à l'école mais ce qui importe alors pour moi, c'est de m'investir dans une démarche créative d'expression libre avec tout ce qu'elle présente de prise de risque, d'incertitude mais aussi d'enthousiasme.

Dès les premiers jours du stage, je collecte les informations et les images qui m'interpellent dans mon carnet de bord. Je me constitue ainsi un petit répertoire visuel. Dans le cadre du Voyage à Nantes, je découvre des œuvres inédites et je flâne dans les rues comme on le fait dans les lieux qu'on découvre pour la première fois.

En début de semaine, je participe aux ateliers qui me permettent de rencontrer des personnes et des techniques mais je ne vois encore pas bien quelle direction précise prendra mon travail. Je continue de répertorier mes découvertes de toutes sortes dans mon carnet.

Au fil des discussions, je me rappelle qu'une des choses que j'adore en voyage c'est écrire des cartes postales.

En réutilisant les documents collectés, je prépare un stock de matériaux qui me permettra de fabriquer de petites cartes postales : morceaux de cartes routières, de tissus, extraits d’œuvres ou de programmes, croquis. Chacune d'entre elles sera un clin d’œil à un moment vécu dans la semaine (ou une fusion deux évènements).
Assez rapidement, il m'apparait important de faire partager activement cette recherche aux autres membres du groupe lors du temps dédié aux présentations.

Je choisis donc de préparer quelques cartes (pour ma correspondance personnelle) dont je proposerai une lecture et d'autres cartes, sans textes pour que les participants s'en emparent et s'engagent à leur tour dans l'écriture.

Simone me raconte également qu'elle a eu déjà l'occasion de s'écrire à elle-même, lors d'autres stages et que l'expérience fut intéressante.

Je retiens donc cette proposition pour le groupe.

J'y connais rien en arts plastiques mais j'en fais !

 Sans titre,

fil rouge 2016

Suite à la proposition de Lucie : s'écrire une "tarte postale".

  détails

J'y connais rien en arts plastiques, mais j'en fais !

Ligne verte et fils rouges

FIL ROUGE
Chacun.e donne à voir aux autres une réalisation personnelle nourrie des apports quotidiens du stage.
C’est ainsi que, lors de ce stage, L'ŒIL de François a suivi toutes les présentations au gré des emplacements choisis par les stagiaires.

En noir : Titre, auteur, lieu et modalités de la présentation -

En rouge :  Ce qui a nourri le fil rouge - cf en fin d'article 

En bleu : Des références culturelles, liste non exhaustive.

 
Coulem’oh !  Martine, Pascale, Annick
Au bord de la rivière.
Les spectateurs sont invités à prendre une baguette et
à la jeter en disant le mot qui est écrit dessus.

  Réservoir de mots élaborés au retour du
Voyage à Nantes, écrire cinq mots sur la journée
et ce que le mot « eau » évoque pour chacun.e.
  Ateliers écriture : L3V et kamishibaï et gravure.
Mise en scène : voix, musique

Miroslaw Balka, La disparition des Lucioles,
Avignon, 2014.
Soto.
Natalia Jaime Cortez  ADC 2016.

L’antre-deux - Emmanuelle
Dans le kiosque.
Texte du marabout-bout-de-ficelle d'Emmanuelle*

Le marabout-bout-de ficelle du Voyage à Nantes.
L’atelier gravure.
Les moments du stage.

Rachid Koraïchi, calligraphe.
Enluminures.

Les mouchoirs de Clisson -  Jacqueline
Accrochés dans le catalpa du terrain de jeux.

  L’exposition au domaine de la Garenne Lemot,
une feuille d’arbre piquée à l’aiguille.
Une remarque d’Agnès pour le choix du titre.
Le Davidia involucrata ou arbre aux mouchoirs découvert
précédemment sur l’Ile Saint-Louis à Paris.

L’exposition d’Éric Fonteneau https://grand-patrimoine.loire-atlantique.fr/jcms/l-agenda/
les-expositions/expositions-passees/expositions-au-domaine-de-la-garenne-lemot/2016-grandeur-nature-deric-fonteneau-fr-p1_201679.
Joël Thépault.

Rue d’Enfer - Isabelle
Sous le barnum.
Les spectateurs sont invités à chanter.

Voyage à Nantes : Grafikama & atelier Le Bras
Ateliers : marionnettes, gravure, modelage

Street art
Théâtre d’objets

Étendage - Delphine
Derrière le muret.
Les spectateurs sont invités à insérer dans l’étendage
les textes imprimés par Delphine.

Le voyage à Nantes
L’atelier gravure
Le tapis de lecture
L’imprimerie

La grande lessive
Annette Messager

Chemins - Simone & Cie
Sur une table de jardin.
Présentation élaborée à partir d’une image et d’un haïku
de chaque participant à l’atelier d’écriture.

Atelier d’écriture : haïkus et images réalisés par les participants
https://www.icem-pedagogie-freinet.org/node/49415
Kamishibaï
Fil rouge de Martine en 2014
 Présentation de L3V réalisés après le stage de Châteauneuf de Gadagne
par un groupe de stagiaires
https://www.icem-pedagogie-freinet.org/node/43671.

L3V – mt-galerie http://mtgalerie.free.fr/

NE 235

Collection d'humains
A travers la ligne
Au tapis
Les "tartes postales"
Les grenouilles
L'art cathodique

Au-delà de l'eau
Sans titre
Jardin
Les Corses, un autre regard
Exercices pratiques
Le réveil de Diabolomenthe

Je présente d'abord des instruments disponibles pour creuser la terre, la mettre en forme ou la lisser et quelques techniques possibles : faire des empreintes d'éléments de l'environnement ou d'objets divers, réaliser un motif en relief ou en creux, travailler à partir de terres de différentes couleurs, les mêler pour obtenir des marbrures (c'est le nériage), etc. Quelques explications s'imposent aussi pour éviter les pièces cassées (l'épaisseur minimale des pièces avec ce type de terre, le mode de séchage).

Certaines stagiaires réinvestissent cette technique dans leur production de fin de stage - le fil rouge -.

Empreintes végétales

Virginie choisit dans le jardin des éléments naturels et teste les empreintes végétales, puis enduit la terre de peinture pour réaliser des empreintes sur papier.

Têtes de marionnettes

Hélène modèle des têtes de marionnettes miniatures à la manière de celles de Ponti vues au jardin des plantes de Nantes.

Mobile

Isabelle réalise une plaque d'épaisseur constante au rouleau et détoure les personnages qu'elle a décalqués au préalable sur un papier très léger, puis travaille les différentes couleurs de terre pour habiller ses danseurs.

Matériel

• de l’argile autodurcissante de différentes couleurs (ocre rouge, ocre jaune, "bleue")
• des chiffons (autant que de réalisations pour les envelopper dans le tissu humidifié) et des blouses
• des sacs en plastiques et des seaux avec leur couvercle
• des planchettes de contreplaqué pour réaliser et déplacer les pièces
• des nappes
• des outils de modelage (mirettes, ébauchoirs)
• des reproductions de sculptures
• des petits objets de formes et tailles variées pour imprimer leur forme dans la terre
• des rouleaux à patisserie ou rondins en bois
• des baguettes de bois carrées pour guider le rouleau quand on veut réaliser une plaque d’argile avec une épaisseur constante

J'y connais rien en arts plastiques mais j'en fais!  

« A quatre mains »

Nous animons régulièrement des ateliers « à quatre mains » parents/enfants. Nos objectifs sont clairs : permettre aux enfants et aux parents de créer et d’imaginer en partageant un plaisir esthétique et émotionnel. Il est essentiel que chacun comprenne qu’il ne s’agit ni d’un cours de dessin, de peinture ou de sculpture mais d’ateliers de pratiques plastiques dans lesquels la technique n’est pas une fin en soi mais placée au service de l’expression de chacun.

Parents et enfants sont « à égalité » dans le processus de création. L’enfant, par sa spontanéité, permet à l’adulte de « lâcher prise » et d’oser. L’adulte peut apporter son savoir-faire lorsqu’il s’agit d’utiliser un cutter, par exemple, mais il ne fait pas à la place de l’enfant, il s’agit bien de coopérer. Les activités que nous proposons peuvent être reprises à la maison en famille, elles sont simples et ne nécessitent pas un matériel spécifique ou onéreux.

Nous avons découvert la peinture collective dans le n°232 de CréAtions Chaque jour au menu : créations  et nous avons eu envie de proposer cette activité.
Chaque participante choisit un pot de couleur et un pinceau et au signal sonore laisse une trace sur la feuille, au second signal chacune se décale vers la droite et poursuit la trace précédente. Très rapidement on ne sait plus vraiment quelle est la trace précédente mais cela n’a aucune importance !

Bien sûr tout le monde a envie de rentrer à la maison avec un morceau de la réalisation collective.  Nous proposons donc que lorsque la peinture sera sèche, chaque famille choisisse à l'aide d'une fenêtre "l'extrait" de la réalisation collective qu’elle aime bien, le découpe puis le colle au dos de la fenêtre qui deviendra ainsi un cadre.

En attendant chacun peut décorer ce cadre à l'aide de matières, objets divers et variés apportés par le groupe et mis en commun.
Cela n’empêche pas quelques ajouts à la peinture après ou de retailler le cadre à sa convenance.

J'y connais rien en arts plastiques, mais j'en fais !

Lors du congrès de l’ICEM «En chemin vers l'émancipation» en août 2017, le secteur "Arts et Créations" a proposé un atelier de pratique artistique à partir de déclencheurs qui a attiré de nombreux congressistes.

S’exprimer à partir de déclencheurs

Dans la méthode naturelle, l’expression spontanée donne lieu à des présentations dans la classe, voire à des communications plus larges. Petit à petit, confrontée aux productions des autres, enrichie des expérimentations proposées en ateliers, elle évolue et se transforme pour devenir une expression libre personnelle parfois même singulière.
La démarche est spiralaire mais parfois "tourne en rond" et l’enseignant cherche comment "aller plus loin", comment approfondir la recherche de l’enfant…
Les déclencheurs peuvent être un élément de réponse à ces questions à un moment donné, une aide provisoire qui n’est pas l’expression libre mais qui pourra permettre à certains d’ouvrir un nouveau champ d’exploration personnelle.

Partager le plaisir de faire

Au Congrès, nous proposons aux adultes présents de s’exprimer plastiquement à partir d’un mot ou  d’une expression – par tirage au sort -: "superficie blanche", "Ikaraundi", "passe flux", "sans titre", "un chinois égaré", "houle du virtuel", "sphère-trames", "promenade de l’oiseau", etc.
Différents médiums et matériaux sont mis à disposition ainsi que du papier, des ciseaux, de la colle, etc.
Chacun se met au travail avec plaisir ; l’atelier est calme malgré le nombre important de personnes présentes, actives  et concentrées.

                                  Intérieur blanc                                                                             La danse

                                         Un chinois égaré

                                   Le sentier de randonnée

Sortir de la classe

A l'issue du temps de présentations, nous expliquons d'où viennent ces mots et expressions : ce sont des titres d’œuvres qui sont exposées dans les salles du Musée de Grenoble. Ainsi chacun a envie d’aller voir comment tel ou tel artiste a traité le sujet proposé. Après s’être confrontés aux productions des autres congressistes, les participants sont invités à aller visiter le musée, non pas pour faire à la manière de… mais bien pour voir en quoi leur expression est pertinente et singulière. Leur curiosité artistique est en éveil…

Pour retrouver une démarche similaire vécue par des enfants de cours moyens : Créer à partir de titres d'œuvres d'artistes