Les historiens de la langue, soucieux de son présent et de son avenir, avec des pédagogues attentifs au problème que pose l'insuccès général de l'apprentissage de l'orthographe établie, n'ont pas varié dans l'opinion que le remède à la crise n'est pas un surcroît de sévérité ou la multiplication d'habiletés dans l'enseignement mais dans un aménagement judicieux de la matière de cet enseignement.