Après la Première Guerre mondiale, nombreux sont les enseignants pacifistes marqués dans leur chair et dans leur conscience. Syndicalistes
révolutionnaires regroupés dans la Fédération des Membres de l’enseignement, ils luttent pour que ne se reproduise plus la tuerie de
14/18, pour mettre fin à l’exploitation capitaliste et construire une société plus juste et plus humaine. Au sein de la commission pédagogique et dans leur revue L’École émancipée ils réfléchissent aux moyens de promouvoir une pédagogie populaire par « l’École active » et « les centres d’intérêt »...