Vous êtes, aujourd’hui, comme un paysan qui gratterait, fumerait, taillerait, arroserait, et qui ne verrait jamais prospérer ni produire ses champs. Quelle raison voudriez-vous qu’il ait de travailler ? Alors, on se décourage, on devient pessimiste, nerveux ; la besogne pèse de plus en plus ; on devient soi-même un dangereux élément de déséquilibre.