Raccourci vers le contenu principal de la page

Recherche archives : Edmond Lèmery, 1996

6 résultats

Résultats

Tâtonnement expérimental et imitation

Juin 1996

L'imitation est un phénomène particu­lièrement fréquent, surtout chez les jeunes enfants ; on le voit bien in­tervenir dans le processus du tâton­nement expérimental à des degrés di­vers.

Faut - il le bannir ou au contraire le prendre en compte et en faciliter la régulation ?

Tâtonnement expérimental pourquoi la répétition

Mai 1996

S' agit - il " d'apprentissage par coeur " pour renforcer la mémoire lexicale ?

Il y a tâtonnement et tâtonnement... expérimental

Mars 1996
Existe - t- il une similitude ou une différence caractéristique entre tâ­tonner, c'est - à -dire procéder, au ha­sard, par essais - erreurs et ap­prendre par l'expérience tâtonnée ?
Si le tâtonnement s'exerce bien dans ces deux formes d'apprentissage, s'agit - t - il, en réalité, du même processus ?

Construction sociale du savoir

Dans :  Formation et recherche › Principes pédagogiques › 
Janvier 1996

Construction sociale du savoir

 
Un exemple : le fer à repasser
 
 
Interactivité. Sys­témique. Symbiose. Synergie dans le tâ­tonnement expérimen­tal d'un groupe. Ap­proches concep­tuelles scienti­fiques et natu­relles. Transforma­tion du savoir : des savoirs privés vers des savoirs pu­blics

La pédagogie Freinet, est-ce une méthode ou une organisation systémique ?

Dans :  Principes pédagogiques › Mouvements › mouvement Freinet › 
Septembre 1996

« C’est la forme même – sociale et humaine – de l’École qu’il nous faut reconsidérer.
L’école traditionnelle emploie des techniques de rédaction, de calcul, de dessin ou de musique qui apparaissent comme des mécanismes minutieusement montés pour tourner en milieu scolaire, mais qui sont sans liaison avec le comportement des individus et les exigences sociales en milieu non scolaire. Il en résulte une fausse culture qui n’est jamais intégrée à la vie des hommes et qui constitue de ce fait une erreur sociale et une fausse manoeuvre humaine.
C’est cette intégration des techniques à la vie, la suppression de ce hiatus entre l’école et le milieu, que nous prétendons réaliser. »

Avec Célestin et Élise Freinet, et après eux, des milliers de classes de tous niveaux, de milieux très divers, égrenées un peu partout dans le
monde, comme un « véritable laboratoire vivant », ainsi que Freinet aimait à le répéter, ont confirmé aux praticiens « qu’il ne peut y avoir
de clivage dans le processus d’acquisition entre les apprentissages que l’enfant fait (ou ferait) dans son milieu naturel et ceux qu’il fait dans le milieu scolaire. » C’est en ce sens que nous pouvons définir une manière naturelle d’apprendre.