D'aussi loin que je me rappelle, l'acte d'écrire a été confusément pour moi, un objet de désir, de passion, de pouvoir, et de réalisation de soi.
De mes premières écoles, je garde le souvenir d'une grande fascination pour l'écrit : monde à la fois imposé par les nantis de la culture, mais inaccessible pour les autres... Et, des autres, quoique ayant un père autodidacte, j'en faisais partie.