Ainsi cela recommence : trois ans "après Dreux", c'est le tour d'Orléans, et de pas mal d'autres villes qui s'engouffrent dans la brèche. Curieux quand même cette persévérance du propos, cette perpétuelle recherche du même effet d'annonce ; à croire, que décidément, ce type de décision relève d'une patiente tendance à la répression.